Catégorie : Sorties ski de randonnée

 

Le col des Fours (2976m) et la pointe de Méan Martin (3330m), deux belles courses au départ du Refuge du Fond des Fours au-dessus de Val d’Isère les 28 et 29 avril, merci à André Collobert de nous y avoir menés.

Départ du parking du Manchet (gratuit lorsqu’on dort au refuge)

 

Vers le hameau du Manchet

 

Le hameau du Manchet (1957m)

 

Montée au refuge agréable

 

Petite halte au refuge avant de repartir vers le col des Fours

Il ne fait pas si chaud pour un 28 avril

Montée au col des Fours, nous savons déjà que la descente va être géniale

Encore quelques efforts

Au col des Fours – 2976m avec à l’arrière plan la Grande Casse et la Grande Motte

 

Nous admirons le panorama

Vue au sud, vallée de la Haute Maurienne avec l’Albaron

Retour au refuge, composé de plusieurs petits chalets dont les toilettes sèches qui valent le détour

Le chef de course en plein effort

Le gardien originaire des Hautes Pyrénées, dont l’humour n’est pas apprécié de tous, nous sert néanmoins une excellente cuisine

Lumière du soir 

Lever 6h, récompensé par ce magnifique spectacle du lever de soleil

 

 

Montée au premier col sous le regard de la lune bien présente, objectif la pointe de Méan Martin

 

Contournement par le sud via le col du Pisset

 

 

Seuls dans l’immensité

 

Pas de doute c’est bien le le Mont Blanc 

La pente augmente sérieusement et les couteaux sont les bienvenus pour la fin de la course

  

Oui c’est le sommet, fin des efforts de montée

 

Au sommet de la pointe de Méan Martin (3330m) l’équipe heureuse

Descente parfois délicate

Mais encore de la belle poudreuse

La pointe de Méan Martin au loin avec nos traces de descente par la face Nord

 

 

Retour au hameau du Manchet, la boucle est bouclée, c’est le prinbtemps.

Je veux parler des Combes des Aravis, bien sûr!

Les conditions en haute montagne n’étant en effet pas très favorables ce jeudi 28 avril 2016, Raymond avait préféré la Combe de Tardevant … l’occasion de vérifier la chance que nous avons d’habiter si près de ce paradis du ski de randonnée!

 

 

A l’arrivée dans la combe, jeux d’ombre et de soleil …

Peu de monde dans cette  troisième combe des Aravis, à l’approche un peu plus longue que celles de Grand Crêt ou de Paccaly …

Il fallut quand même améliorer la trace …

Avec la promesse d’une belle neige poudreuse à la descente …

Arrivée au sommet de la combe …

D’impressionnantes corniches ourlent les crêtes …

Puis c’est le sommet de l’Ambrevetta (2463 m)

ou celui de Tardevant (2501 m) pour quelque hasardeur !

Je me suis laissé dire que, le mardi de la semaine précédente, la descente du Trou de la Mouche avait été encore plus fameuse mais … belle descente tout de même, avec de la poudreuse sur une grande partie …

En bref, la combe de Tardevant nous a ravis 🙂 … merci Raymond pour cette belle sortie!

 

(Merci à Jean et à Christian pour leurs photos)

 

 

 

 

Pour la rando cool de ce mercredi 30 mars 2016, un joli petit sommet bien individualisé dans le sud du Beaufortain : le Quermoz par son versant ouest …

Une montée tranquille depuis le village de Grand Naves (1316m, à 10km de la Léchère), à travers prés et zones broussailleuses peu denses, avec une météo assez clémente : éclaircies et température douce (aïe, la neige …)

puis, au-dessus du lac Bozon, sur la crête sud, large et facile …

Au sommet, soleil et panorama à couper le souffle, sur la Vanoise toute proche …

On n’aura finalement vu personne sur cette course réputée très fréquentée ! A la descente, les 15 cm de neige récente, humidifiée par le soleil et posée sur une mince croûte de regel auront permis quelques agréables virages … dans le bas, il faut reconnaître que le regel nocturne a été bien faible mais … une belle sortie tout de même !

(merci à Gérard et Yves pour leurs photos)

Des conditions pas très « cool » ce mercredi 23 mars à la Pointe de Chalune, avec de fortes bourrasques de vent …

A l’arrivée dans le vallon du Foron, une première traversée de ruisseau

A la deuxième traversée, quelques grognements dans les troupes … il y en a encore beaucoup comme cela?

Le beau vallon du Foron s’étend devant nous, avec la Pointe de Chalune au fond (2116m)

Ensuite, c’est le vent qui se met de la partie …

A 150 m avant le sommet, on tient à peine debout … inutile d’aller plus loin … on décide de redescendre … tant pis pour le sommet!

La météo avait bien prévu des bourrasques à 55km/h ainsi que des éclaircies et des passages nuageux.

La neige est restée dure et, par endroits, peu agréable à skier …

Mais quelques pentes bien exposées plein sud permettent de faire d’agéables virages sur « moquette » …

Les nuages défilent rapidement au-dessus de nos têtes …

Un chalet du Foron d’en Haut a quand même permis de se protéger du vent …

 

Pour le pique-nique, nous attendrons d’être descendus dans un endroit moins « sauvage » …

Pause permettant d’entrevoir des chamois avec leur pelage noir d’hiver ainsi que … des moutons qui ont passé l’hiver dans « le grand pré » …

A l’arrivée au hameau de Bonnavaz, le pot partagé à la sympathique buvette « au petit bonheur », ainsi que la visite de la chapelle Notre Dame du Vieux Chalet, joliment restaurée par les propriétaires des lieux, finissent de nous ragaillardir …

 

 

Bravo à Laurie et Benjamin qui, après un cycle découverte sous la pluie en janvier, ont poursuivi leur initiation avec, cette fois-ci, un vent « à décorner les boeufs » … mais à quand le ski de rando sans pluie, sans vent, et sans avoir mal aux pieds…?

 

 

Ni les couteaux, ni les crampons et ni la corde n’auront été nécessaires pour atteindre le Grand Bec ce week-end du 19 et 20 mars.

C’est un très petit comité que Jean-Claude Perfetti emmène à Champagny le Haut, une nuit en refuge non gardé aurait-elle limité les ardeurs ?

Départ du foyer de ski de fond de Champagny le Haut (1469m) avec son église et son joli fond de vallée.

  

Deux encadrants juste pour moi…

  

La montée dans le bois de la Taillette nous élève très vite en nous offrant une belle vue aérienne du village.

   

A la sortie de la forêt, il reste 300m pour atteindre le refuge du Plan des Gouilles (2350m).

  

  

Jean-Claude et François ne résistent pas à la Becca Motta (3042m) qui domine le refuge, tandis que je profite de l’après-midi au soleil avec les jeunes qui sont montés en nombre (6 en BTS à Grenoble et 3 du lycée de Moutiers). 

  

De retour de la Becca Motta, heureux…

Les derniers rayons du soleil, rentrons nous réchauffer au coin du feu.

Expérience intéressante de passer la nuit en refuge non gardé, mais heureusement le départ n’est pas trop matinal.

  

La montée est très agréable, d’abord le long du glacier de Becca Motta, puis après le col nous traversons le glacier de Troquairou pour rejoindre sa rive droite. 

  

Le Mont Pourri, La Grande Casse.

  

Quelques pas sans les skis nous permettent d’atteindre le sommet.

  

La grande Casse encore plus près, majestueuse.

La descente sera plutôt bonne, mais il faudra rester vigilant avec une neige variable qui ne donne pas droit au relâchement. 

 

Les chamois, eux ne semblent pas avoir de problème vu leur rapidité. Petit moment de bonheur à les suivre dans leur descente.

 

Nous quittons les couches à l’approche de la vallée avec la température qui s’élève.

 

 

Le petit hameau de Friburge et nous retrouvons la piste de ski de fond.

 

La boucle est bouclée, retour à la voiture. 

 

Merci Jean-Claude.

 

La Combe pierreuse ne déçoit pas ! Un cheval en ninox véritable nous attend au sommet.

 

Nous patîmes onze bipèdes, affublés de planches métallo-plastique, du hameau des Hauts de saint-Jean de Belleville.

Léo a oublié ses lunettes, pas de problème, il met le masque façon compagnie créole.

Pas de bonnet, pas de problème, je lui offre un boeuf « esprit club alpin ».

-« Je mets pas le Buff, ça fait soeur ».

Ce sera sans.

Le casque vaillement porté sur le côté ne sera pas non plus porté. Défaut de réglage usine de la sangle.
Pas étonnant que le soir, on trouve un homard…

-« c’est parti pour mon premier quinze-cent! »

Poudre façon eskanpète dans la montée. Changement d’objectif: Nous redescendrons de ce côté.

ça râle dur du côté des impétrants du 15-100.

– « P…., j’en ai marre »

– « P…., je pète les plombs »

– « Il reste combien de dénivelée ? »

Festons  pour rejoindre la merveilleuse Combe Pierreuse.

-« P… que c’est bô ! ». On dirait une farandole de manchots empereurs façon Aligel.

Pas d’image de la descente géante dans le couloir sommital. Les Tardivel et autres skieurs de l’impossible sont grillés par les fakistes.

Et puis ce serait indécent.

Finalement, on l’a fait notre 1500.

Grand merci à Léo, parfait compagnon de collective, volontaire et demandeur de conseils. Excuse moi Léo de me servir de toi comme Auguste et moi comme clown blanc. D’habitude c’est l’inverse.

Le crux de cette balade fût la recherche d’un bar. Après bien des déboires, nous sommes arrivés dans un bistrot d’Albertville où la serveuse avait garé son Harley dans le bar. Le démarrage pétaradant et odeur de dragster, devant les clients médusés a fait sensation.

A bientôt, pour une nouvelle aventure.

 

Les bords du lac d’Annecy sont magnifiquement enneigés ce mardi matin (8 mars) quand nous partons vers Notre Dame du Pré (1270m) espérant trouver des éclaircies et surtout un risque avalanche moindre qu’en Haute Savoie.

 

Deux groupes seront formés et respectivement encadrés par Joseph Esseul et René Christin, donc un cool et un rapide !

 

 

Départ sous la neige, très douce au pied, forêt chargée de blanc comme on l’aime.

 

Très jolis chalets de « Près de la Côte », endroit propice à une première pause.

     

Le long de la pente raide, après les chalets de la Côte, un peu d’espacement par précaution.

Enfin l’éclaircie attendue.

 

 

Sur la crête du Dou, plus longue qu’il n’y paraît.

C’est fini pour l’éclaircie, raté pour la vue à 360° et conditions hivernales, on s’attendait à plus de douceur……Nous renonçons également au programme initialement prévu avec un retour par le Mont des  Archers.

Juste assez de visibilité pour la descente, menée avec enthousiasme par Françoise qui a retrouvé son punch et ne nous fait pas oublier que c’est la journée de la femme. 

Retour au très joli village de Notre Dame du Pré mais l’unique café étant fermé, nous partons  au traditionnel rendez-vous de Feissons.

  

 Merci aux encadrants.

 

Les photos sont de Christian Bouvet et Nicole Jacquemin.

 

 

Ce mardi 1er mars 2016, premier jour du printemps météorologique, il avait revêtu sa plus belle parure hivernale :

 

 

 Quand la montagne « s’habille » et se « déshabille » de nuages, elle est vraiment la plus belle, elle a certainement inspiré quelques beautés féminines.

 

Kléber et Pierre ont dû s’employer pour « tracer », derrière, Alain et moi, on a eu le temps de faire des photos:

 

 

 

 

Dans le mur final, le brouillard s’en mêle :

 

 

Au sommet, on y voit plus clair, mais qu’en sera-t-il à la descente ?

 

A la descente, je me suis souvenu… Là, Jo avait décidé de ne pas descendre par le ruisseau, il en avait gardé un mauvais souvenir, aujourd’hui, nous en avons gardé un très très bon souvenir…J’étais aussi passé là avec Pascal, le tour de la Pointe de C…

 

 

Vous avez tous reconnu les paysages que nous avons photographiés ce mardi 1er mars ?

Je remercie infiniment Alain SÉNÉ d’avoir bien voulu numériser les photos qui suivent et qui constituent pour moi un des plus beaux souvenirs de sorties collectives jamais réalisées au sein du Club Alpin Français d’Annecy.

Nous étions cinq pour cette traversée de l’ALETSCHHORN dans l’OBERLAND, dont Annette FORESTIER et Jo PONCHAUD.

 

 

Nous avons vécu ensemble un week-end merveilleux, et nous étions tout simplement heureux.

Annette portait son éternel bonnet à pompons doubles, et Jo arborait son éternel sourire.

Comme l’a si bien dit le frère de Jo, lors de la cérémonie de sépulture, c’est à travers ces souvenirs et le recueillement qui va avec, que Jo et Annette vivront éternellement en nous.

 

 

 

 

 

 

 

 

C’était le 23 mai 1999

Réveil matinal sans remords pour ce dimanche (21 Février) qui s’annonce très ensoleillé, et au programme une belle boucle dans le Beaufortin sous la responsabilité de Georges Depétri.

 

Direction Hauteluce et plus précisément la petite station de ski du Val Joly dans le fond de la vallée où nous nous garons (1220m). Pour information, cette station communique avec les Contamines.

 

Nous ferons deux groupes, le premier encadré par George et le deuxième par Alain Dambrine et Sophie d’Amonville.

  

 Derniers ajustements  

    

 Nous découvrons l’immensité de ce cirque et réalisons la distance à parcourir avant de s’élever dans les hauteurs.

    

C’est parti pour monter au col sans nom (~2380m) en respectant bien l’espacement de sécurité (30m soit 45 pas). Les pentes sous la Tête de la Cicle sont à plus de 30°.

    

 On devine derrière nous la vallée de Hauteluce et les sommets qui dominent au Nord.

 Le col sans nom se mérite et donne l’occasion à Sophie de nous aider à améliorer notre technique de conversion. 

Premier « dépeautage » avant de remonter au col de la Cicle. On aperçoit tout en en bas l’itinéraire de   

contournement qui évite le col .

 Enchantement face au massif du Mont Blanc à l’arrivée au col de la Cicle  

 Pause déjeuner rapide…

 

 Belle descente du col de la Cicle en poudre mais bien brassée quand même.

 Un grand sourire avant d’attaquer la montée au col de la Fenêtre, qui finalement s’avère assez courte.

  

Un dernier regard sur la descente du col de la Cicle.

Du col de la Fenêtre nous continuons plein sud, l’idée de Georges sera payante et ce dernier effort nous permettra de descendre dans une excellente neige et vierge…

  

Avant la descente, le col de la Fenêtre.

Heureux!

  

  

 Belle vue sur le Rocher des Enclaves.

 Rassurez-vous, ce n’est qu’un exercice DVA.

  

 

 

 Un bouchon d’une heure le long du lac nous permet d’admirer un magnifique lever de lune…