Catégorie : Sorties ski de randonnée

C’est le spectacle que nous avons eu le plaisir d’admirer ce vendredi 6 février 2015, en montant à la Pointe de Chaurionde par le versant est, sous la houlette de Jean-Claude Perfetti …

 

 

 

Au départ de l’Abbaye de Tamié (880m), atmosphère hivernale, un peu glaciale …

 

 

 

Mais nous avançons, bien vite réchauffés par le rythme de la montée et la magie de cette forêt fantasmagorique, avec ses épicéas et autres arbres enneigés, plâtrés, givrés

 

 

 

 

Jean-Claude garde un oeil sur les instruments de navigation …

 

 

   

 

 

Vers 1500m, enfin le soleil …

 

 

 

puis, c’est l’arrivée aux chalets du Drison (1650m) …

 

 

 

La montée jusqu’à la crête (col du Drison, non nommé sur la carte) est une promesse de beaux virages dans la poudreuse à la descente …

 

 

Un arrêt sur la crête, au col …

 

 

 

 avant d’attaquer la montée sur l’arête sud-est puis sud de la Pointe de Chaurionde …

 

 

 

Au sommet, le soleil et l’absence de vent permettent une agréable pause pique-nique (enfin … pas trop longue, car on se refroidit vite!)

 

 

 

A la descente, l’arête sud-est par laquelle nous étions montés s’est avérée très agréable à skier …

 

 

 

 

avant de plonger vers la mer de nuages, il est temps d’échanger les lunettes de soleil contre les masques anti-brouillard …

 

 

pour finir (clin d’oeil aux shabraks!) par un « ride » dans la forêt de Tamié, sur la croupe nord-est descendant de Tête Noire, avec au final … une fixation arrachée et une gore-tex déchirée … mais quel plaisir, ce ski dans la neige profonde au milieu des arbres !

 

       

 

Nous n’avons vu ni moine, ni tétras-lyre mais effectué une bien belle sortie (à la montée 10 km et 1300 m de dénivelée) avec soleil au-dessus du plafond et très beau ski à la descente dans la poudreuse … merci Jean-Claude!

 

(photos : Nicole Jacquemin et Martine Piétu; carte : 3432ET Albertville)

 

Le choix initial effectué en octobre tenait compte du BRA du samedi 17 janvier, bravo à l’initiateur… Enfin la neige !

 

Direction Saint Martin Belleville et le village du Chatelard, au-dessus des Ménuires pour débuter la randonnée qui doit nous conduire à la pointe de  la Fenêtre, puis au col de la Fenêtre. Des efforts sous le soleil

C’est encore un peu froid, mais la collectivité réchauffe.

 

On se réhabitue au rythme, et on découvre un habitat particulier.

 

 

L’envers du Perron des Encombres, même Charlie était de la partie.

Le manque de neige marque le paysage…

 

 

Les  premiers virages font lancer des mots de cambronne, cela touche…

 

 

 

Je crois qu’on a tourné trop loin, il y a des péruviens pour le pique-nique.

 

Certains n’ont pas eu assez à manger à la pause de midi, il goûte la neige.

Mais il faut déjà quitter les croupes sommitales pour aborder la mangrove alpine (dixit Jean-Pierre)

 

 

Certains se sont appliqués dans les vernes,il fallait boxer les filles !

 

Déjà prêt pour la prochaine sortie…

 

 

PHOTOS : Anne-Laure Credoz et Chantal Abry

 

 

Deuxième séance sur le terrain de ce cycle découverte 2015, dimanche 18 janvier 2015.

Encore une fois, les conditions ont été favorables!

 

 

Quels enseignements tirer de ce cycle?

 

 

Tout d’abord, un extraordinaire engouement pour cette activité de la part d’une nombreuse et jeune population.

 

Jugez plutôt:

• 44 participants le 11 janvier;
• 38 participants le 18 janvier auxquels il faut ajouter une partie de ceux qui sont sortis le 17 janvier.

 

Une attente importante d’une « suite » à ce cycle découverte sous la forme de randonnées adaptées à ces nouveaux pratiquants qui ont besoin de progressivité dans la difficulté, la technique et le niveau physique requis pour randonner.

On ne passe pas brutalement de 500m de dénivelée dans une course F à 1200m dans une course PD!

 

 

Il faudra que le Club réfléchisse à ce sujet, s’il veut revoir dans ses sorties collectives ces personnes qui, selon l’avis général ont été enthousiasmées par cette découverte.

 

Il faudra aussi réfléchir à la gestion pratique de ce cycle: l’organisation de sorties à 44 ou 38 participants n’est pas chose aisée.

Lieu de parking pour plus de dix véhicules, gestion du matériel (nous avons utilisé ce WE TOUS les DVA du Club), mobilisation des initiateurs, formalisation du cursus, nécessité de participer au cycle complet pour une efficacité de la formation, autant de sujets de réflexion pour l’année prochaine.

 

Toutes ces questions ne doivent cependant masquer le fait que les participants à ce cycle se sont faits plaisir et ont acquis quelques bases.

 

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Après la première séance consacrée aux gestes de bases à la montée (pas alternatif, pas tournant amont, conversions, etc.), la deuxième séance était orientée vers la prévention du risque avalanche (choix de la course, de l’itinéraire et des progressions en fonction du groupe, des conditons nivo-météo et du terrain, interprétation du BRA (bulletin d’estimation du risque d’avalanche disponible sur le site Internet de MétéoFrance, niveau de risque, localisation, observables, etc.), utilisation du « joker » que constitue le tryptique DVA, sonde, pelle).

 

 

Les participants auront aussi appris que faire les comptes de covoiturage, ce n’est pas simple lorsqu’il y a 10 voitures!

Il auront aussi appris que notre Club est attaché au covoiturage!

Mais ils auront appris tout ceci dans la bonne humeur autour d’un pot à l’Hermitage!

 

Il fallait avoir envie d’apprendre pour se lever de bonne heure ce dimanche 11 janvier 2015. La pluie était battante. Pourtant 44 adhérents du Club se sont présentés au parking Sainte Bernadette à 7 h 15.

Il fallait aussi avoir envie d’enseigner pour se lever par ce sale temps et sortir pour autre chose que d’aller chercher son pain ! Pourtant les 8 initiateurs prévus étaient présents. Qu’ils en soient remerciés.

Heureusement, comme dirait quelqu’un que je ne nommerai pas, « j’ai le c.l bordé de nou…es », et la tempête subie à Thônes lors de l’arrêt « location de skis » s’est transformée en çà :

 

 

Mais avant cette image du parking au moment du retour, il a fallu travailler !

 

 

 

Lorsque nous sommes arrivés au parking de la Duche, la neige froide avait remplacé la pluie.

 

Le franchissement de ruisseau est obligatoire dans la formation des débutants.

 

Pendant que nous nous entrainions à « converser » (1er ski, transfert de poids, 2ème ski), le temps s’améliorait et, quelques temps après être sortis du bois…

 

le soleil brillait !

 

Tout n’était pas rose pour autant, l’épaisseur des sabots de neige sous les skis atténuait l’optimisme ambiant.

 

Cependant le paysage faisait oublier ces menus tracas.

 

 

Encore une ou deux conversions pour le fun (n’est ce pas Gaëlle!), et ce fut le sommet ! (de la Tête des Annes)

 

 

Quant à la descente : mieux qu’au cinéma !

 

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Mais la journée n’était pas finie !

 

Après avoir rendu les skis, fait le plein du minibus et être rentrés à Annecy, un autre rendez vous d’émotion et de partage, pour celles et ceux qui le souhaitaient, nous attendait…

 

 

Avec 25 000 autres personnes, nous avons pu nous réimprégner de notre merveilleuse devise :

 

LIBERTÉ, ÉGALITÉ,FRATERNITÉ

 

Et nous avons pu affirmer au nom de cette devise :

 

 

 

Ski tout terrain, ce samedi 10 janvier 2015, pour cette randonnée à skis proposée par Sophie d’Amonville, avec pour objectif le Col des Porthets, dans le massif du Mont Charvin …

 

 

 

Au-dessus de La Savatte, le hameau de Dzeures (1250m) était le point de départ de cette randonnée.

Un peu d’inquiétude parmi les participants : allions-nous inaugurer le concept (nouveau au CAF d’Annecy) de randonnée à ski sans neige et avec pluie ?

 

 

Heureusement, assez vite, la pluie s’est arrêtée …

 

 

puis ciel bleu et soleil firent leur apparition …

 

 

 

 

dévoilant le majestueux sommet du Charvin (2409m)

 

 

à la hauteur du Haut de Marlens (vers 1650m), la neige était enfin au rendez-vous …

 

 

 

 

 

 permettant une montée tranquille jusqu’au col des Porthets (2072m) …

 

 

 Après un pique-nique au soleil…

 

 

il ne restait plus qu’à descendre … dans le tiers du haut (la combe sommitale), la neige était skiable …

 

 

peu de commentaires sur le deuxième tiers de la descente, agrémenté de quelques cailloux …

 

le troisième tiers de la descente , nettement plus rock & roll, permit à certains de faire quelques figures de style …

 

 

je me garderai bien de tout commentaire sur la qualité de la neige (vous avez dit « exigeante »? heu …) ;-))

 

 

Merci, Sophie, de nous avoir sortis aujourd’hui!!

 

(photos : Martine Piétu et Tamara Vignolo)

Alors, elle était comment cette première neige goûtée de la saison 2014-2015?

 

Euh, elle était blanche, froide et elle glissait…

 

 

On pourrait rajouter qu’elle était humide en dessous de 1600m et profonde au dessus.

Au départ à 1400 m, 10cm.

À la fontaine de COVALEUX À 1500m 30 cm.

La couche s’épaissit ensuite rapidement

Les pentes raides d’herbes ont purgé.

La couche atteint 80 cm à 2000m.

C’était bien entendu au sommet du LACHAT du Grand Bornand où les éclaircies du matin m’avaient abandonné!

 

Changement d’heure oblige : le lever est tôt, très tôt… pour se diriger vers le massif de la Vanoise

Dès lors, les abeilles ont un lourd labeur de montée. On peaufine la conversion dans le cirque de l’Arcelin.

On poursuit nos efforts dans le cirque du Dard, on essaie de trouver un rythme, un second souffle. Et il en faudra…

Arrivés au col de l’Arcelin, les forces reviennent, la luminosité est plus intéressante

Mais la montée n’en ai pas fini pour autant, et trait de culture oblige, nous traversons un champ de sastrugi. Le sommet de la Grande Casse n’est pas très engageant ce jour…

1750 mètres de dénivelée plus tard, le pique-nique est bienvenu au sommet. Et la descente s’avère laborieuse dans les dites sastrugi… Le chemin est trouvé au-dessus du refuge rénové de Félix Faure.

Heureusement, les membres de la troupe sont encore souples.

Passés ces péripéties, , après les ruines du chalet de l’Arcelin, passage sympathique avec une neige enfin transformée. « Je mets mon espoir dans l’initiateur, je suis sûre de sa parole… »….

Effectivement, cela passe, avec style, pour certains !

 

Ne vous fiez pas aux apparences, la journée au Grand Chatelet dans le Beaufortain, s’est avéré sonore…

Le brouillard s’affiche dès le départ, première embuche, mais l’itinéraire est pour l’instant sans difficultés.

Pierre met en musique la portée, en traçant allegro.

Certains avaient prévu un autre itinéraire pour ce dimanche, mais ils suivront la trace…

La poursuite de la montée est truffée d’embuches. Il faut être souple.

La première montée dans les bois, est maîtrisée.

Il va falloir poursuivre sans anicroches, les masures ne sont pas couvertes.

La poursuite se fait ensuite dans le brouillard, les skis crissants ou glissants suivant l’état de la neige. Heureusement, monsieur GPS avait des piles, car il est difficile de progresser sans voir le relief. Enfin, le soleil s’affiche, ainsi que la Pierra Menta et son col Tutu.

Il faut en profiter car cela ne va pas durer. La couche de nuage est épaisse.

La descente ne sera pas transcendante…Mais le chant se termine avec les blues brothers, lunettes de soleil obligent.

Objectif atteint ce dimanche, le Dou de Moutiers, en Tarentaise.Une dizaine de personnes s’engage avec entrain sur le terrain neigeux, sans stress, le paysage du côté Lauzière est aussi tentant.

Mais la montée se poursuit, Julien demandant la pose sur les photos…

Le traceur continue son chemin, comme d’habitude.

Il pose à la pause, devant le Mont Pourri, et Bellecote.

D’autres en profitent pour admirer le Grand Bec, versant Pralognan.

Avant de s’engager sur la dernière arête.

L’effort en valait la chandelle… pour une vue splendide sur le Mont Blanc.

Pour ne rien enlever, la neige était de très bonne composition pour accueillir les virages de tous les membres de la collective.

 

Tout le monde en profite…

Avant de jeter un dernier coup d’oeil sur un autre terrain de jeu.

Les dimanches se suivent… et se ressemblent, si on considère la météo.

Mais pour le reste, la collective s’est particulièrement bien enhardie pour s’engager sur un itinéraire classique de l’annécien. Jugez plutôt…

 

En effet, le conducteur de l’engin de déneigement s’est arrêté plus bas que le parking de Belchamp, cela ne fait que de la dénivelée en plus, même pas grave.

Malgré la neige qui continue de tomber, nous chaussons, accompagnés d’un chien et de son maître, un raquetteur, détail important !

Enfin, l’ensemble du groupe semble faire bonne fortune, bon coeur… en rouge et vert (lendemain de saint valentin oblige).

Le comportement moutonnier aidant (suivre les traces du raquetteur…), le gps faisant des siennes, le tour des bois devient une alternative intéressante pour la sortie !

A deux tours, on s’arrête, et on se retrouve…au chalet de Sollier.

Heureusement, les panneaux sont toujours indicateurs, ils ne se sont pas mis de la partie de cache-itinéraire jouée depuis le matin.

Après une montée en neige collante jusqu’au « mur », le passage sur les feuilles dans les bois n’ayant rien arrangé, nous retrouvons le bonheur de la descente. La neige s’avère à point, rarement vue sur les pentes de la Tournette, selon les dires de l’initiateur.

D’ailleurs, certains l’apprécient tellement, qu’il la goute littéralement.

Merci à Nicole pour ses photos, sans qui je n’aurais pas réalisé cet article, l’appareil étant en panne de batterie, tout comme la montre altimètre, d’ailleurs…