La traversée des BORNES, une randonnée itinérante en mode « doux »

Une première partie qui parcourt les sentiers historiques du maquis des GLIÈRES, une seconde qui s’approche des sommets des chaînes du BARGY et des ARAVIS, une variété constante dans les paysages, une flore et une faune abondante, telle est cette « Traversée des BORNES » pour laquelle il n’est point besoin de disposer d’un véhicule automobile!

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Cinq étapes sont suffisantes pour rallier NAVES à LA CLUSAZ.

Les lignes de bus départementales LIHSA vos emménent au départ et vous ramènent de l’arrivée à la gare routière d’Annecy.

On peut agrémenter la fin du parcours par la visite des combes et sommets des ARAVIS.

Une photo par étape pour vous donner l’envie de réaliser cette itinérance qui passe par les deux refuges dont notre Club est gestionnaire!

Passez votre souris sur les photos pour avoir la légende!

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Au pied des aiguilles de Chamonix, la tête dans les étoiles …

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magnifique circuit proposé par Mireille Demeure le mardi 30 juillet à partir de Chamonix …

Après avoir garé les voitures près du cimetière, on longe la route vers le sud sur environ un kilomètre, puis, au niveau du camping, on prend le sentier montant dans les Grands Bois en direction de la cascade du Dard…

après quelques réglages …

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on ne tarde pas à apercevoir les silhouettes imposantes du Dôme et de l’aiguille du Goûter émergeant des brumes de la vallée …

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l’air est frais (moins de 10°C) et pur, et les glaciers blanchis par la neige de la veille semblent à portée de main … comme les séracs du glacier des Bossons, la montagne de la Côte et la jonction …

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l’aiguille du Midi apparaît bientôt au-dessus de la crête des mélèzes …

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 en regardant où on met les pieds, on peut trouver quelques chanterelles (n’est-ce pas, Monique?) … sinon, c’est ce paysage merveilleux …

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on progresse au milieu des rhododendrons … les marmottes veillent …

 

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bientôt, c’est l’arrivée au refuge du Plan de l’Aiguille

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puis à la gare du téléphérique du Plan de l’Aiguille(2310m)

… 1250 m de dénivelée, ça creuse … un arrêt pique-nique s’impose!

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après cette pause bien méritée, on reprend le sentier du grand balcon nord, en direction du Montenvers …

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beaucoup de trèfle alpin dans ces prairies …

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sur ce sentier en balcon, on croise pas mal de monde et on entend parler allemand, anglais, espagnol, italien, russe, etc…

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au-dessus de nos têtes, les majestueuses aiguilles de Chamonix, toutes  plâtrées  de la neige de la veille…

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le très joli sentier nous amène en vue de l’hôtel du Montenvers …

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où l’on visite le glaciorum, nouvel espace pédagogique aménagé sur le site du Montenvers : l’exposition utilisant l’étonnante technologie de la réalité augmentée permet de mieux comprendre la création, la vie et l’évolution des glaciers, notamment la mer de glace.

Sur la terrasse du Montenvers, les touristes, randonneurs, alpinistes écoutent le glaciologue Luc Moreau raconter la dynamique glaciaire, les bandes de Forbes, les variations passées et actuelles du plus grand glacier français : celui-ci fond à vue d’oeil et a retrouvé son minimum atteint au Moyen-Age …

puis  le très joli sentier aménagé sur la moraine boisée de mélèzes et de bouleaux nous amène aux rochers des Mottets …

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de là, le « chemin de sortie de la vallée blanche » nous ramène tranquillement au parking des Planards …

Neuf heures de marche pour cette  boucle de 1250 m de dénivelée et plus de 15 km …

Merci à Mireille de nous avoir fait découvrir et partager ces magnifiques sentiers sur ce versant du Mont-Blanc qui fut pendant onze ans et DEMEURE (Mireille, c’est fait 😉 !) son terrain de jeu favori ….

 

Recette pour une Tournette insolite et sauvage, un dimanche de juillet…

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eh oui, c’est possible … en passant par Praz D’Zeures …

Vous laissez la voiture au parking de la Molloire à 1030 m (de Thônes, après le col du Marais, vous prenez la première à droite en direction de Montaubert, puis la première à droite en direction du parking de la Molloire).

La première partie de la montée se fait à la fraîche dans la forêt, puis on débouche au Praz du Feu sur la piste provenant de Montaubert

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On continue en montant dans l’alpage jusqu’au refuge de Praz D’Zeures (en patois savoyard, les prés de deux heures, temps mis pour y arriver …)

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un arrêt près du refuge permet d’admirer les différents plans de montagnes se découpant sur l’horizon, avec la montagne de Sulens, puis le Charvin, et au fond le Mont Blanc

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on continue en direction des Frêtes, sous le regard de sentinelles … ayant le pied montagnard!

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puis c’est l’arrivée sur la crête

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Le pas de la Bajulaz permet de passer au pied de la pointe du même nom

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premier névé rencontré

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récompense du dernier raidillon : la vue sur le lac !

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de là, on voit bien le cheminement du sentier passant côté lac au pied du « fauteuil »

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les marches taillées dans la neige par un président bienveillant et … prévoyant (avec une pelle dans le sac!) …

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permettent de passer sans risques un passage un peu exposé …

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puis c’est l’arrivée au « fauteuil », où on retrouve l’inévitable « bouchon »!

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 l’affluence au sommet, c’est le seul « hic », mais … la vue est tellement belle!

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à la descente, en direction du refuge de Rosairy, on trouve un coin tranquille pour pique-niquer; les soldanelles pointent leurs nez, là où la neige vient juste de fondre …

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la descente vers le refuge de Rosairy, entre sections sur sentier et belles glissades …

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une halte au refuge de Rosairy, une caresse à l’ânon juste âgé de deux mois …

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puis une grande traversée nord-sud sur le sentier passant au-dessus du Bouton, puis descendant vers le chalet (en ruines) des Vorets, et passant au pied de l’aiguille de Serraval… nous ne rencontrons personne!

Une courte remontée de moins de 100 m de dénivelée permet d’atteindre les Trois Vargnes

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De là, il suffit de suivre la bonne piste redescendant au parking de la Molloire et … la boucle est bouclée!

Au final, une très belle journée en montagne avec 1422 m de dénivelée et un peu plus de 14 km parcourus sur un itinéraire explorant les flancs sud, ouest et est de la Tournette … à part l’inévitable bouchon et l’affluence au fauteuil, l’itinéraire reste en grande partie sauvage et nous n’aurons rencontré que peu de monde … un vraiment beau dimanche de juillet! (circuit d’une durée de 8 h et demie en comptant les arrêts)

 


 

Les lacs secrets de la Grande Valloire

Aujourd’hui, dame météo nous annonce des orages en milieu d’après-midi. Le rendez-vous est pris ce mardi à l’église Sainte Bernadette pour un départ à 6h00 !

Deux convois, deux sorties et beaucoup de petits yeux tout collés. La route est longue (mais se fait en 1H 20!) jusqu’au massif de Belledonne.

Une déviation à Poncharrat nous fait découvrir la ville et ses mamies matinales. ?

Joseph au volant nous offre même quelques tours de rond-point gratuits.

Ca papote? Ca roupille? Difficile à dire….

Il est 7h45, le massif apparait enfin à nos yeux.Il fait grand soleil. De la neige dans les sommets annonce des passages de névés. On verra bien !

 

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Il fait frais sur le parking. On enfile grôles et vestes, on règle GPS et? altimètres; puis on s’élance tous les dix vers un sentier bien indiqué.

Joseph sera notre sherpa de la journée. Au panneau touristique il nous explique le programme : longue montée dans la combe de la Grande Valloire jusqu’au refuge. Au dessus, perchés dans le Haut Bréda et bien cachés derrière un amphithéâtre de montagnes, le vallon de la Grande Valloire abrite 4 lacs de couleurs différentes.

Le nom de Valloire viendrait de Vallis Aurea signifiant vallée où il y a de l’or !!

Le chemin sous les bois est roulant et bien agréable. Le groupe s’allonge très vite. Hop hop hop, on ralenti ! On change l’ordre des marcheurs et le rythme est trouvé. Anne-Marie, comme à son habitude, ferme la marche et prend le temps d’admirer la flore! Chacun y va de ses anecdotes, blagues pas toujours drôles, histoires étonnantes de randonneurs, etc. Deux ruisseaux à franchir donnent du fil à retordre à certaines, cependant nous avançons pour enfin atteindre la première « pause » après 550m de dénivélé positif en 1h10 de marche. ?Il faut boire et manger c’est un ordre. A bon entendeur!?

On repart ensuite à même allure sur le chemin qui sort peu à peu des sous-bois jusqu’au chalet. Ca flash de tous les côtés! La vue est magnifique.

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 Un pont de bois instable nous occupe un moment. Jérôme fait le clown pour la photo.

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 Personne ne tombe à l’eau, dommage les appareils photo étaient prêts. La suite se déroulera à découvert des bois.. Beaucoup de pierriers, quelques rares marmottes au loin. Pas de bouquetins, ni de chamois cette fois. Nous suivons le ruisseau. Les quelques traversées ne sont pas évidentes, le débit est un peu élevé. Après concertation nous choisissons de monter à droite vers le premier lac Blanc d’un bleu azur très beau.

La couleur « menthe laiteuse » du Lac Blanc est due à la « farine » glaciaire, poudre venant de la désagrégation des roches cristallines (granit, gneiss, gabbro).

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Nos pas nous conduisent au delà du pierrier, et très vite nous rejoignons le lac de la Folle niché au creux d’un petit amphithéâtre, superbe!

La Folle aurait vécu à l’époque de Louis XIV avant de se noyer dans le lac éponyme

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De retour au croisement et apres avoir re-crié un coup au niveau ruisseau, nous amorçons l’ascension finale dans un ébouli pénible mais où les névés accélèrent notre progression.

Le lac Noir, lui, beaucoup plus grand apparaît à moitié gelé au pied du pic de la Valloire. Le Lac Noir a été aleviné.

Nous sommes emerveillés.

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Pas d’orage en vue, mais les gargouillis d’estomac nous poussent à poursuivre. la progression dans le rochers est usante mais la découverte du lac Glacé nous fait vite oublier la fatigue!

Le lac Glacé (2449m) porte des icebergs toute l’année.

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Les rapaces nous offrent un joli balais aérien en plus de ça. Nous prenons quelques photos pour les étudier plus tard.

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Cartains proposent une petite baignade revigorante, qui va oser? Personne finalement. Le casse croûte s’achève comme il se doit dans la bonne humeur et la dégustation des digestifs faits maison très parfumés. Les nuages arrivent, on remet les chaussures et c’est la redescente qui s’annonce.

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Le retour se fera par le même chemin. Pas de pluie, la chaleur pèse sur les épaules un peu plus bas. La fraîcheur de la combe en sous-bois nous permettra de finir sans trop transpirer.

Le lac Blanc était vert et le Lac Noir était blanc ce mardi 16 juillet 2013. 

Joseph aura découvert comme nous une ballade fabuleuse. A refaire!

La journée s’achevera à Allevard-les-bains autour d’un délicieux gâteau aux marrons préparé par Nicole. Merci pour la recette!

le muguet du mois de juillet …

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admiré au col de la Bourse dans les Bornes, le jeudi 18 juillet …

Le circuit du passage et col de la Bourse démarre à la Balme de Thuy, où on gare la voiture près de l’église. La montée se fait par un sentier très agréable, après 500 mètres de dénivelée c’est le premier arrêt dans la hétraie sapinière …

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Le sentier remonte en direction d’une vire ascendante coupant la base de la falaise de la gauche vers la droite

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La vire est bien équipée de chaînes …

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et se remonte facilement …

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partout beaucoup de fleurs

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géranium, rosier des Alpes, raiponce …

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Le fameux muguet du mois de juillet, on le trouve près du col de la Bourse

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De l’autre côté, très belle vue sur le vallon d’Ablon et ses falaises bien connues des grimpeurs

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Du col, le sentier descend N, N-E vers le vallon d’Ablon

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Le bonheur d’admirer et de photographier encore et encore des fleurs …

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lys de Saint-Bruno, campanules, nigritelle, raiponce, crépide dorée….

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Juste après le chalet d’Ablon, on prend à droite le sentier qui remonte dans la barre d’Ablon, sentier appelé « sentier de la gloire »

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De la barre, on domine le vallon et on aperçoit le chalet d’Ablon

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Il commence à pleuvoir lorsque nous remontons la plaine de Dran, et la chapelle de Notre Dame des neiges offre un refuge bien appréciable pendant la grosse averse, nous en profitons pour pique-niquer …

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Nous ne sommes pas les seuls à avoir trouvé refuge sous ce toit hospitalier!

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La pluie s’étant arrêtée, nous reprenons le sentier descendant vers Nant Debout

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encore et encore des fleurs (orobanche, tête folle du fruit de l’anémone des Alpes)

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Après la clairière de nant-Debout, le chemin à droite dans la falaise nous ramène au leudit « le château » puis à notre poinr de départ

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La météo avait annoncé de rares averses le matin et des orages l’après-midi … au final, nous aurons eu une averse, pas d’orage, et quelques coins de ciel bleu et de soleil… beau circuit de huit heures au total pour environ 1200 mètres de dénivelée et près de 15 kilomètres!

Seule ombre au tableau : quelques tiques rapportées en (mauvais!) souvenir…

 

 

 

Suet, suer, suée …

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Dimanche 16 juin, encore trop de neige au Petit Bargy, donc ce fut une randonnée en face sud et à une altitude plus modeste… et dans une ambiance très estivale!

A partir de Forgeassoud Dessus (parking de la ferme « milk et bouse »), le sentier monte tranquillement vers le nord-est, jusqu’à un beau point de vue

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Ensuite, il devient beaucoup plus raide, on monte même carrément « dré dans l’pentu »….!

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tiens, c’est bizarre, les conversations se calment!

Il fait chaud, heureusement la hêtraie-sapinière réserve un peu de fraîcheur …

Première pause en haut du raidillon

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Le nom Suet (ou Souet) viendrait du latin « solis » et désignerait un terrain exposé au soleil … ce jour-là, les randonneurs du groupe seraient enclins à penser que ce nom évoque directement une « suée »!

Mais on arrive bien vite à la cabane du Suet

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Il reste alors moins de 200 mètres de dénivelée pour arriver au sommet (1826 m)

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Le panorama à 360° est magnifique et nous permet de réviser les noms des sommets …

On redescend sur la cabane, puis, on prend le sentier qui se dirige sud-ouest vers le chalet de la Mare; malgré l’altitude modeste, il reste de la neige dans les creux, et le cheminement en suivant les marques bleues ressemble un peu à un jeu de piste…

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Il y a encore des crocus, des soldanelles, et, un peu plus bas, on trouve des céphalantères…

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Après le chalet de la Mare, retour à le ferme « milk et bouse » en passant par les Frassettes et …. la boucle est bouclée!