Catégorie : Sorties escalade

Samedi avait lieu la journée des cours d’escalade dans La Plus Belle Vallée du Monde

 

Nous (les initiateurs) avions un ami, non diplomé, mais beaucoup plus à l’aise que nous dans les dalles de la Falaise de la Colombière pour « surveiller » tous éléves présents.

D’abord, il falut répartir le matériel.

Ensuite se mettre à grimper, enfin presque,  …

Tandis que d’autre était là pour surfer en tongues sur le calcaire de notre région.

D’autres ont quand même fait de l’escalade dans de vraies voies, en se posant toujours les mêmes questions: est ce que le relais est bien fait?

Est ce que ça tient? Oui faut juste y croire et surtout pousser à fond sur les pieds … ?

Qu’y a-t-il là haut? Juste le bonheur d’y être arrivé …

Et, en fin de journée, ce fut une vrai explosion de joie de quitter la falaise pour se rendre au bar le plus proche pour arroser cette belle journée.

Merci à toi pour ton aide … et à l’année prochaine.

 

Merci à Janine, Dominique et Gilles pour leur aide ainsi qu’à tous les élèves présents sans qui cette journée n’aurait pas été ce qu’elle a été.

 

Cette édition 2014 du traditionnel stage d’escalade de Pâques a regroupé 10 jeunes aux Vans. Selon notre hôte (haut en couleur) nous sommes à la « frontière » entre le nord et le sud de l’ardèche. Pour nos grimpeurs et grimpeuses, c’est surtout la variété des sites qui retiendra toute leur attention, pour un séjour réussi avec l’aide d’une météo très favorable.

1er jour : falaise de Mazet pour constater que notre biclope bien patiné n’a rien à envier avec le calcaire de certains sites ardéchois.

Découverte le 2ème jour des blocs de Casteljeau. Pour tous c’était une première et beaucoup se sont pris au jeu d’une escalade qui fait appel à la puissance et qui procure également ce petit goût de liberté en l’absence de corde et de baudrier. Crash-pad et pareurs assurent la sécurtié pour une journée de défis bien orchestrés par Didier.

3ème et 4ème jour : direction la Lozère proche pour s’essayer au granit. En grandes voies ou sur coennes c’était l’occasion pour notre groupe de faire appel à toutes leurs ressources. Et des ressources , ils en ont eu pour mettre au point des techniques originales :

*la « margotte » et la « double margotte » (du prénom de son auteur) qui consiste à coincer une ou deux fesses dans les fissures

* l’albatros ou descente en moulinette, bras largement déployés sur les côtés.

D’autres se sont exprimés au niveau culinaire, en versant par exemple les crosets dans l’eau froide : excellent pour obtenir un bloc bien compact ….et tout cela dans la bonne humeur !

Mais il faut déjà penser au retour. Et ce sera Ballazuc pour notre denier site. Les troupes sont fatiguées et les doigts bien douleureux mais le cadre est magnifique.

Rendez-vous en 2015 avec pour les encadrants le même désir de faire vivre aux jeunes un séjour enrichissant et qui laissera sans aucun doute de très bons souvenirs

Quatre cordées intergénérationnelles ont taquiné le rocher ce dimanche 1er juin. La moitié des participants a découvert et apprécié la falaise de la Colombière.

 

Les bouquetins étaient bien sûr au rendez-vous. Mais ils n’ont pas assuré le spectacle avec une démonstration de leur dextérité sur la paroi. Dommage !

On s’est donc contenté d’un petit escargot qui n’avait, lui non plus, que faire de la verticalité du rocher et de ses cannelures.

Peut-être qu’avec les dents on pourrait faire aussi bien que lui ?!

Il semblerait que l’exercice ne soit pas si simple… Mais quand on a des pieds, une lolotte à gauche, et hop ! Le tour est joué.

La journée s’est terminée avec quelques petits bobos ( un doigt tranché en escalope et une cuisse victime d’un grand écart à la Béjart) et une corde coincée. Mais une satisfaction immense de nos grimpeurs en herbe qui espèrent bien pouvoir s’éclater à nouveau dimanche prochain. A bon entendeur, salut !

Dimanche 18 août : belle journée pour cette 13^ème sortie « escalade pour tous ». Vous avez deviné où nous sommes allés ?

 

 

Les participants se préparent avec sérieux. Le 2^ème rappel en fil d’araignée pour rejoindre le pied de la voie inquiète un peu les novices.

 

La 1ère longueur en 5c est toujours déroutante alors qu’on se croyait bien capable de grimper en tête dans ce niveau de difficulté. Va falloir encore un peu de temps pour être « 5 c régulier » !

Après ça, il paraît que les difficultés sont terminées. Effectivement, la suite est plus débonnaire.

Mais voilà qu’ une traversée vient perturber cette quiétude.

 » – Où est le prochain spit, en haut, en bas ? ? ?

– Janine, j’ai la trouille. Tu veux pas venir me rejoindre et tu passeras devant ? « 

Finalement, tout le monde franchit avec succès ce passage délicat, même si pour certains ce fut un moment de grande solitude et de dépassement de soi !

Les Zigzags arrivent à leur terme. Le soleil nous a rattrapés depuis longtemps. Nous préférons l’ancien relais, à l’ombre sous le chêne, que les 2 spits installés juste au-dessus. Il ne nous reste qu’à rejoindre à pied le chemin tranquille qui descend de l’ancien téléphérique du Veyrier.

La journée s’est déroulée sans souci horaire, personne pour nous pousser à nous dépêcher . Chacun a pu ainsi, à son rythme, mettre en pratique tout ce que leurs maîtres cafistes leur avaient enseigné.

 

 

 

Généralement dans un cours d’escalade, on apprend ou on se perfectionne à grimper, on apprend ou on révise nos manipulations de corde. Bref, on devient tout simplement autonome.

 

Mais ce qu’on ne dit pas (mais que nous dévoilons aujourd’hui), c’est que quand ils ne se finissent pas autour d’un apéro, les cours se terminent autour d’un barbecue. Et là du coup, la motivation pour grimper en prend un coup!

Jusqu’à ce que tout le monde range le baudrier!

Et dire que pour certains cours, l’apéro se ferait maintenant un jour et l’escalade le lendemain…

(merci à Virginie pour les photos)

 

Après les hostilités, début du repas 16h…

Grand succès ce printemps pour le titre imaginé par Jean-Luc.

Cela évite l’angoisse de savoir si on a le niveau requis et des insomnies.

Aujourd’hui grandes voies à la Rosière.

Rappels, enchainements de longueurs et art du « Seigneur des anneaux »

Il pleut tellement souvent que des rochers poussent dans l’herbe

Les cannelures, lunules et goulottes n’ont plus de secrets : on est les rois du monde

On a obligé la cordée suivante à rester sur le parking de la vire pour continuer dans « Spéculos » (hommage aux cht’is) ou une autre locution latine assez vulgaire je crois; à voir sur le topo.

 

 

Malgré la pluie abondante de fin de semaine, il y avait pléthore de candidats vendredi soir au forum pour s’inscrire à la cinquième collective des « Sorties pour tous » mises en place chaque dimanche de cette saison par la section escalade.

Nous partîmes 17 du parking de Géant. Mais par un prompt renfort, nous nous vîmes bien plus en arrivant aux Cornailles ! Le nombre augmentait à toute heure.

Malgré tout cet afflux, nous grimpâmes sans relâche (ou presque) !

Les plus valeureux, portés par Dominique, abordèrent sans peur le secteur POM au Sapenay et coururent se livrer aux 6a qui les attendaient.

Le reste, brûlant d’impatience, autour de moi demeure. Leur courage renaît et leurs terreurs s’oublient. Ils n’osent plus douter de leurs capacités à vaincre les difficultés, et même jusqu’au 6 b.

Sous moi donc, cette troupe s’active. Je vais de tous côtés, encourager les uns,  faire avancer les autres.

Et le combat cessa faute de combattants, à présent motivés par la beauté des lieux.

PS : Oui, j’ai plagié (qui?), veuillez m’excuser du si peu d’originalité !

Merci à Bikram pour les photos.