Catégorie : Sorties escalade

Du lundi 12 au vendredi 16 avril, 7 jeunes du CAF, agés de 10 à 16 ans ont (re)découvert les falaises autour d’Annecy.

Départ chaque matin à 9h00 à bord du minibus, direction les sites de grimpe choisis par JF, leur encadrant. Retour au Club vers 17h après des journées bien remplies…

Lina, Garance, Ariane, Maëlle, Gabriel, Justin et Mathis ont fini leur semaine fatigués mais enchantés, satisfaits des progrès réalisés et des bons moments passés ensembles.

Le temps était souvent frais, certaines falaises impressionnantes et quelques voies ardues, mais tous sont restés au top!  

 

 

Lina Finelle: «  on s’est éclaté »

Justin Labaeye: «  Un stage au top ! Jean-François a été très sympa, mes collègues également, les sites sur lesquels nous sommes allés étaient  chouettes (malgré la contrainte des 10 km), les sandwichs étaient bons… enfin bref… rien à redire »

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Bravo à tous, merci au CAF et à bientôt pour de nouvelles aventures verticales.  

J-F LAVOREL

Nous sommes allés à la falaise de la Culaz, au-dessus du Grand-Bornand, avec une magnifique vue sur les Aravis enneigées.

 

 

Des participants motivés, encadrés par des nouveaux initiateurs : nous avons pu revoir les manip’ de haut de voie mais aussi et surtout toucher du caillou, tout ça sous un beau soleil !

Nous n’avons bien sûr, pas oublié la pause pique-nique, avec un bon gâteau apporté par Benoit !

On a trouvé le vaccin contre l’épidémie de sinistrose.

La sérieuse étude menée par le professeur Jacquot de Sevrier a comparé l’extinction probable des ours polaires aux collectives escalade du Club Alpin.

On peut encore inverser le processus en en se nourrissant massivement de sérotonine associée à une dose élevée de dopamine. Les docteurs es collectives : Janine, Florian, Jacques et René valident le protocole inoculé à tous les volontaires au vaccin.

 

  Conclusion de cette année d’observation : Espérance que la prochaine session en deuxième année verra le numerus clausus augmenter.

Remède : Il suffit de proposer des sorties à tous nos GM par nos GO. Le comité scientifique du haut comité à la santé de la FFCAM n’a pas proposé de confiner les falaises.

Stade d’incubation de ce jour : Dalles de la Rosière

Application : Adhérence, relais, rappels et manipulations de cordes. Surveiller la température ambiante qui ne doit pas descendre en dessous de 20°C. Eviter l’aération trop forte des locaux en évitant les courants d’air.

Observations : Aucun patient ne s’est plaint de douleurs psychique et physique liées à l’exercice.

Le sourire des jours heureux.

Trop de prises.

On ne peut pas se plaindre tout le temps.

Mes premiers rappels d’anthologie.

Supplément (non facturé) : Visite impromptue de la mystérieuse grotte de Morette, grâce à l’application lampe torche.

Evaluation de la largeur après avoir visité la profondeur.
Note du rédacteur : Vérifier où on met les pied. L’eau est si transparente qu’on a l’impression qu’elle est invisible.

 

 

Démontage du mur le samedi

 

 

 

Lors des dernières vacances scolaires, le mur de baudelaire a eu le droit à un coup de jeune. Comme chaque année, l’ensemble des prises et volumes ont été démonté puis nettoyé. Grâce aux bénévoles qui se sont rendus disponibles, le démontage a été réalisé sur la journée du samedi 29 février. Le remontage a pu commencer dés le lendemain et s’est poursuivi toute la première semaine de mars. Toutes les voies, du 4a au 7b, étaient prêtes pour la réouverture. Malheureusement elles n’ont pas été beaucoup utilisé avant la situation actuelle de confinement, mais ce n’est que partie remise.

Un grand merci à tous ceux qui ont participés au démontage et rémontage du mur.

 

C’est de notoriété publique que les grands ont de multiples avantages en escalade. Mais les petits ont le secret des ressources…

 

 

 

 

 

 

 

 

– chausser les bottes de 7 lieues

– grimper en moulinette, corde bien tendue par une assureuse complice
  
– utiliser du matériel adéquat : ‘’sacrilège’’ dira l’équipeur des lieux.

– pour finalement atteindre les sommets.
Moralité : même quand on est petit,
                tous les espoirs sont permis !
 
Belle histoire vécue ce dimanche sur la falaise du Petit Montoir au Parmelan par 14 participants.
Alors, qui dit qu’on ne grimpe pas en collective au mois d’août ???

Merci Pascal, Gino, Jean-Pierre pour l’équipement de cette falaise où nous avons passé une très agréable journée en apportant notre contribution avec un essai de cotation des voies.
N.B. : Toute la partie gauche n’est pas représentée sur ce topo : plusieurs voies en 5 au-dessus de la vire et plus difficile à l’extrême gauche.
Falaise située à 1500 m d’altitude, orientée Sud, 25 min d’approche.

Pour accéder au site, suivre Villaz puis direction Aviernoz et le chalet de l’Anglettaz. Abandonner le chemin carrossable pour suivre à pied le sentier qui passe au chalet des Chappeys. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Rien à voir avec une ballade russo-narcotique. Mais une bien belle balade sur le magnifique calcaire du Roc des Bœufs.

Les décors sont de qui vous savez, les costumes sont de diverses fripperies. Les images sont de Jean-Noé équipé d’un casque caméra.  Ceci n’est pas un exercice. Les angles de prises de vue seront modifiés dans une autre saga.

On se moque bien de la météo. La pluie est prévue vers 17 h. Journée magnifique. Programme : Quinze longueurs dans le IV et V.

Lunules, cupules, coquilles apparentes, cannelures et gouttes d’eau sont au menu.

Joie de confection de relais triangulés selon les méthodes  si souvent recommandées. « Bon! On peut faire plus simple»

La rampe (V), plus impressionnante  en que difficile.

 

Une lame de Ouf !

Pas facile à interpréter le topo. « Tiens, le ciel devient changeant !».

 

Premiers arrivés à la voiture à 16 h 59 secs. Zut on aurait dû accélérer. Les derniers arrivants sont douchés à 17h 05.

 

Comme on était onze, on s’est réparti sur les quatre voies équipées.

Pour vous situer, on aperçoit la belle rousse qui se mire dans le lac.

Trop le choix tue le choix

Grosse discussion autour des cotations entre 5c et 5b. Pour trancher, chaque cordée est allée taquiner les difficultés inclinées sur 45° de moyenne. On devrait conseiller ça aux skieurs de l’extrême.
Prise de risque de fluage de gomme au maximum, moral au top.

Merci à la géologie d’avoir accordé ce feuilletage Urgonien de -130 à -112 millions d’années (on va pas se disputer avec les dates). Voir  www.geol-alp.com

Débriefing à l’occasion du pique-nique. Finalement on reviendra pour contrôler tout ça.

 

 

 

Après  »Allez-y Madame Mummery », nous avons inauguré  »Retournez-y madame Ducruet » !

 

 

 

 

  

Trop contents de grimper dans un superbe décor au col de la Colombière, nous avons prolongé le plaisir avec une 7ème longueur et plus par rapport aux 6 initialement prévues dans la voie de  »Allez-y madame Mummery ».
Au premier rappel, la corde s’est coincée, obligeant Madame Ducruet à remonter quasiment jusqu’au dernier spit de la voie, en auto-assurance sur les 2 brins de corde du rappel. Le noeud s’était savamment blotti entre deux bouts de rocher, bien décidé à y rester !
Mais c’est pas tout ! Rebelote au deuxième rappel, ce qui a contraint cette même Madame Ducruet à remonter pour débloquer la corde enroulée autour d’un becquet rocheux. Une descescalade sans trop de risque a suffit cette fois-ci à remettre les choses en ordre.

 

Nous sommes néanmoins retournés à la voiture sains et …sauf un réverso qui a fini quelque part au bas de la dernière longueur de rappel.
Merci à Cindy et Laurent pour la maîtrise de leurs émotions. Désolée pour ceux qui ont attendu patiemment, ou un peu moins, en bas, se demandant s’il fallait appeler les secours, ne nous voyant pas arriver.
Les collectives, ça a du bon pour ceux qui ne peuvent pas se permettre une grande voie en autonomie…et du moins bon pour ceux qui auraient bien voulu ficeler cette sortie  au rythme des plus rapides.
Conclusion : ne prévoyez pas de rendez-vous galant en fin d’après-midi si vous sortez en collective avec le club !

Ce samedi 30 juin, soleil au maximum, moral au beau fixe, motivation à 110%.

 Une vingtaine de grimpeurs se masse sur le parking : trois objectifs : Les demoiselles du Grand-Bo avec René, Manque un mètre avec Jacques et Charlie et les autres avec Philippe à la Falaise école.

Je ne raconterai que mon groupe.

 Après une grimpette mi-bouquetin, mi-homo habilis grimpatus nous arrivons au pied des sept longueurs vertigneuses inclinées à 40° de moyenne.

Première opération : Récupération du butin de pied de voie : un descendeur ébrèché.

Seconde opération : Treuillage de la corde en 13 mm après lavage par Aman (12 ans et courage de forçat).

Relais confort à deux amarrages parallèles, chaînés et conviviaux, qualité made in Aravis.

Troisième opération : Test d’adhérence sur le calcaire.
Quatrième et non des moindres. Abandon au bistrot du col d’une moitié des troupes qui veulent regarder la fin du match des bleus. Ils n’ont pas été déçus.

 

 

 

C’était écrit. Le premier jour de l’été serait le plus beau.

Janine, Guy, Sylvie et René ont nettoyé, sécurisé, astiqué « Balade sentimentale » avec tout ce qu’il faut pour augmenter le BIB (bonheur intérieur brut).

Le topo : (lien).

Janine et son sac vintage façon transgenre Mac Intosh contenant tout le matériel d’équipeuse, débroussailleuse.

Alors, faute d’avoir tous les combattants, l’équipe du jeudi s’est lancée dans l’aventure, partagée en deux. La première avec Janine dans les rappels arachnéens agrémentés de méli-mélo de corde, vers « Balade Sentimentale ».

 Joel file vers l’araignée.

Les seconds sont partis en évitant soigneusement les premières longueurs de Zigzag. Les uns ont vu le vide se creuser sur le lac. Les autres ont senti l’adhérence des chaussons sur le calcaire.

Louis dans la plus belle longueur.

Seul le silence de la montagne était troublé par les ersatz de Johnny et Goldman éraillés et beuglants qui montaient dans les cieux. Seul l’un des deux y est parvenu.

 Belles et relais

Les constructions de relais étant ce qu’elles sont, c’est avec la frontale que ce petit monde a rejoint les Contrebandiers.

Zoé-Eh! Faut-pas rêver! (sans trucage par Patrick Faramaz®)

 Respect à Robert Perriaux, génial inventeur de voies, qui, dans les années nonante, a concocté ces deux échappées belles. Depuis répétées par tous les amoureux de belle varappe.