Catégorie : Sorties escalade

Le jour est-il apparut avant la nuit ou l’inverse ?
C’est en attendant la nuit promise que nous profitons de la journée ensemble à gravir le calcaire du Parmelan.

 

Mais le but d’aller au Parmelan n’était pour seulement grimper !
Nous avions rendez-vous au refuge avec Philippe Jacquot, astro-photographe, pour une présentation étoilée. Du fonctionnement des galaxies, des comètes, des étoiles filantes,…
Le ciel, de nuit, est un véritable livre ouvert, de symboles, d’animaux pour qui sont capables de retomber en enfance et de laisser leur imagination faire le travail.
Je ne peux tous vous décrire dans cet article car je ne voudrais vous spolier tout le travail d’un passionné qu’est Philippe (je n’ai surtout pas retenu grand chose…^^’).

(Philippe réglant son téléscope)

 

Permettez-moi aussi de vous présenter une bien curieuse venue de cette nuit.
Ces êtres, parés de mêmes couleurs, se partager une bouteille qui donne le feu afin de survivre à cette nuit fraîche. Nous nous sommes permis de les appeler la secte des « jaioubliémadoudoune ».

 

Philippe a pu, lors de cette nuit, nous sensibiliser sur l’utilisation du ciel étoilé par nos anciens.
Et d’un point de vue scientifique, nous questionner sur l’existence du monde.

D’où venous nous ?
Que deviendront-nous ?

Nous sommes nés poussières d’étoiles et nous disparaîtront en poussières.

« Alors profitons de notre passage,

pour gravir,
car chaque prise,
nous rapproche d’une étoile. »

     

             En route pour
 les demoiselles du Grand Bo.

   Les 3 jeunes de l’équipe ont       été sympas, ils sont arrivés à     marcher au rythme de leurs         aînés !

 

 

 

 

 

 

 

 

La voie est parfaite pour une initiation : beau rocher, difficulté raisonnable. Avec le soleil et la température idéale, on ne pouvait qu’avoir la banane.  
Rien qu’une envie pour certains, continuer sur les Pointes de Midi. Mais la corde est trop courte !
                        L’option ‘’corde à simple de 50 m’’ a bien facilité la tâche des apprenties grimpeuses. La technique du rappel, c’est pour la prochaine fois.
 
 
En montagnards avertis, nous nous sommes écartés du sommet, apparemment débonnaire, pour pique-niquer. 
 
Et nous sommes repartis sans perdre de matériel. Pas comme le grimpeur suivant qui a vu dégringoler son beau sac orange dans les rochers en contrebas. Il n’a pourtant pas été pressé de le récupérer…

Nous avons bien sûr rencontré les demoiselles du Grand Bo qui broutaient dans l’alpage mais aussi les AS de la grimpe bagués et étiquetés depuis la période Ségolène. Heureusement, certains ont échappé au massacre de masse.
Une belle journée comme on en veut encore.

 

 

    Un refuge, des falaises, une culture différente.

            Le projet est lancé : Celui de monter au refuge du Parmelan pour une soirée Népalaise !

L’approche commence au soir sous un temps complètement aléatoire entre averses et brumes.

Ce qui peut rajouter du charme aux champs de lapiaz.

 

            Arrivé au refuge la récompense d’un accueil chaleureux se fait ressentir à coté d’un poêle et des gardiens toujours ouverts de cœur. Le repas finit par combler nos derniers maux de ventre.

La bière également (à consommer avec modération ^^’).

 

            Voici venu l’heure d’une présentation du Népal ainsi que de ces cultures.

Ce pays est tolérant à toutes les religions et pratiquants spirituels (bouddhistes, hindous, musulmans,…). Tant que ceux-ci aient des convictions de compassion et d’altruisme envers tous les êtres.

            Ce qui est l’aspiration principal du bouddhisme, représentée pars ces fameux drapeaux de prière que l’on peut retrouver sur nos sommets. Chaque couleur représente un des éléments naturels qui composent notre monde (air, eau, terre, feu et l’espace), sans qui, nous pourrions être de ce monde.

            Ces drapeaux sont composés également de mantras (prières) pour que ceux-ci, exposés aux vents, se répandent dans tous le monde afin de dissiper toutes les souffrances humaines (la peur, la haine, le chagrin,…).

Nous n’oublierons pas les paroles de notre guide Népalais : « pensez aux autres ».

 

            Le lendemain matin nous redescendons sur les sites de grimpe. Le temps nous a permis d’avoir un joli créneau ou l’on a pu profiter du rocher.       

            Un remerciement aux ouvreurs de la falaise du petit Montoir. Un très joli site dont tout le monde a été ravi de cette découverte.

 

Merci à vous tous.

Namasté.

« L’escalade est une discipline à lâcher prise sans lâcher les prises. »

Direction la vallée d’Abondance, son délicieux fromage et ses paysages sauvages avec une douzaine de grimpeurs avides de grandes longueurs pour le week-end de Pentecôte. Emmenés par Geoffroy, Charlie et Michel, les cafistes ont bien poncé les falaises calcaires des Cornettes de Bise d’Ouest en Sud. Mélangez des amateurs de sensations fortes avec un topo souvent trop gentil, et vous avez 3 belles journées d’aventures verticales dans de belles voies et leurs cannelures… qui se méritent !

Bon échauffement le matin avec de bonnes randonnées d’approche.

On retiendra les jolies voies des P’tits Loups et Les Papillotes – en 5a max – pour une mise en jambe en douceur sur du bon rocher bien équipé. Bravo à Julia et Anna pour le pas en dulffer ! En 5 sup, on s’est régalés dans Butterfly et les Septantièmes Rugissants. De belles voies assez continues en 5c max à part un pas bien teigneux en 7a/A0 où Diane est passée en tête sans (trop trop) tirer au clou. Dans Blue Migou, annoncée 5b max mais ressentie 9b (au moins !), Cyr a compris dès le premier pas qu’il ferait tout en second. Quant à Sylvain, en tête, sa dégaine panique a fait des miracles.

 On s’est aussi dépassés dans El Condor – où Noëmie a enchainé la dernière longueur en tête malgré les points espacés, dans Little Moose qui réservait une dernière longueur surprise que Lou a recôté de 5b à 6a, et dans Millénium, les deux cordées engagées ont fait un tour de passe-passe pour obtenir un coinceur salvateur pour décorer un peu la distance entre deux plaquettes.

Le dernier jour, c’est entrainement à la pause de coinceurs dans Anxio Lithique pour que les cablés de Nathan ne restent pas au baudard. On remercie les alpagistes de Bise qui ont dépanné Leticia d’un casque le samedi soir, troqué contre quelques heures de peinture et de garde des chèvres après avoir oublié le sien à Annecy.

On en revient avec la banane, l’envie d’y retourner, des courbatures et quelques leçons apprises qu’on n’allait quand même pas garder pour nous ?

Leçon numéro 1 : Bien lire le topo, et ne pas oublier les coinceurs quand c’est marqué noir sur blanc 

Leçon numéro 2 : Quand le Chablais, c’est sous-côté… Camp to camp est votre meilleur allié !

Leçon numéro 3 : Le covoiturage c’est bien, garer sa voiture dans un parking qui n’est pas fermé quand on a envie de rentrer, c’est mieux…

Leçon numéro 4 : l’amitié inter-CAF, c’est important ! Mille mercis à Laurent, le président du CAF Chablais, pour nous avoir rejoint.

24 heures avant le départ, la météo posait beaucoup de questions sur le programme. Elle alimentait également des échanges fournis sur le maintien d’un séjour en camping.

Dormant « en dur », Camille, Isabelle, Fanny, Noémie, Sylvène, Benoît, Bruno, François-Xavier, et Jérémi ont embarqué dès l’aube destination Orpierre. Un mini bus au complet avec de quoi grimper, boire et manger pour quatre jours.

Je vous mens un peu….

 

 

 

La météo ne permettant pas de grimper à l’arrivée le premier jour, le départ n’a pas eu lieu à l’aube.

Une première étape a été actée sur le site de la Baie de la Grésine, au bord du lac du Bourget. Une approche bucolique, quelques longueurs en couenne sous un soleil timide, une vue sur le lac.

Un pique-nique partagé et le groupe reprend la route.

Quelques heures de route plus tard, accueilli par leur hôte en fin de journée, le groupe devra décharger le camion sous la pluie. Chacun prend ses quartiers, une équipe part visiter le village qui les héberge.

Lagrand, quelques rues et montées au charme pittoresque, établies autour d’une église dont l’entretien tient à cœur des 200 habitants du bourg.

Surplombant légèrement la vallée, Orpierre se situe à 10 minutes en voiture.

Isabelle prend les rênes de la cuisine pour la soirée, la météo est étudiée en détails et le site des « 4 heures » est sélectionné pour le lendemain.

L’arrivée matinale ne suffira pas, le parking compte déjà plusieurs mini bus UCPA, ou CAF, le secteur 4 heures Est Droite affiche complet.

Le groupe profitera du secteur Ouest Droit puis Ouest Gauche sous le gris puis le soleil. De la dalle, des orteils qui chauffent, les voies se flashent, se travaillent, s’enchaînent en tête ou en « moul’ « .

Milieu d’après-midi, un repli efficace au pied levé pour l’arrivée de la pluie battante.

Une visite du village, quelques courses, un apéro, quelques jeux, un bon repas piloté par Isabelle et tout le monde part profiter de sa seconde nuit au gîte.

Au troisième jour, la décision est prise de partir plus tôt. La météo est annoncée belle pour la journée complète ! La joyeuse équipe est prête pour en profiter au max !

Le soleil fut présent !

Au début…

Pour le reste ?

Un secteur très vite bondé, un brouhaha constant.

« Vive les femmes », belle longueur de 40m en 6a, sera testée par presque tous.

Et la pluie imposera un repli au bistrot dès le début d’après-midi.

Le reste de la journée s’écoulera doucement entre balades sous la pluie, jeux et apéro improvisé.

Last day but not the least. Le secteur du Château est visé pour profiter avant de rentrer.

Arrivé au parking, le groupe constate déjà une très forte affluence. Trop.

Réflexion, proposition, direction Sigottier ! Un choix de qualité. Un site varié, calme où chacun profitera au mieux.

Faute de restaurant ouvert, le groupe finit les restes au cul du camion avant le retour en Haute-Savoie.

Un week-end où il aura fallu composer avec le temps mais qui aura permis de bons moments de partages et de grimpe.

Merci aux encadrants !

 

Léontine, Zian, Victor, Noreyni, Gaby et Gabriel, 6 jeunes du CAF âgés de 10 à 14 ans  ont participé à un stage escalade de 4 jours encadré par Jean-François Lavorel pendant les vacances de printemps autour d’Annecy.

 

 

 

Moulinettes, escalades en tête, manips du maillon, rappels  en fil d’araignée et via ferrata ont  rythmé ces belles journées en lieu et place des maths, français et autres cours d’histoire! Grâce aux transports en minibus, des sites variés et intéressants ont été arpentés : baie de Grésine à Brison St Innocent, Grande Jeanne, Fort l’Ecluse, Virieux le Grand sans oublier Vitam et le mur du Lycée des Bressis (merci Dominique L.) lorsqu’il pleuvait. Ils ont bien réussi à se réadapter à l’escalade en extérieur : faire son sac, porter,  marcher, chercher, observer, toucher du vrai rocher, monter plus haut…sans toutefois  renoncer aux jeux vidéo …

Ils s’en sont très bien sortis, félicitations à eux, les grandes voies sont pour bientôt !

Un grand merci au CAF et à ses bénévoles pour cette belle organisation et à bientôt pour les cours de printemps !

C’est sous une pluie battante que le groupe a été réveillé en ce mardi férié, dernier jour du séjour grande voie, dernier petit-déjeuner, préparation des sacs, au revoir l’auberge, au revoir le cap Canaille. Nous, en attendant que le soleil pointe son nez, on va refaire quelques manips, grimper encore un peu et profiter une dernière fois de la mer, ensuite on rentre.

Mais… comment on en est arrivé là ?

Il était une fois deux jeunes initiateurs qui…?

 

Non ! Ce n’est pas un conte de fée, moi j’y étais et je n’ai pas d’ailes, donc je vais vous raconter la vraie histoire !

C’est rue du Mont-Blanc, autour d’un breuvage local hautement réputé, que le séjour grandes voies calanques vit le jour. Quelques semaines plus tard, deux initiateurs et six cafistes déterminés se donnèrent rendez-vous à l’aube du samedi 30 novembre 2022 avec cordes, dégaines, sangles quelques vêtements et vivres en poche, direction : les côtes bleues de la méditerranée.

Mais tout d’abord : d’Orpierre deux coups! A la mi-parcours une petite pause grimpe s’impose, allons nous dégourdir les jambes et profiter des falaises sous les couleurs d’automne. Le temps de deux jolies voies et d’un rappel sans oublier de manger un bout et on repart !Arrivée en bord de mer en fin d’après-midi, nous montons à l’auberge avant le dîner. Quelques détails pratiques à régler puis rendez-vous au Jour 2 pour le début de nos aventures.

Le lendemain donc, après un réveil bien matinal, le groupe part. Une bonne heure de marche à travers les sentiers du parc national et on arrive au pied des falaises de l’Aiguille de L’Eissadon. Le soleil réchauffe doucement la pierre fraîche et on entend le fracas des vagues sur les rochers. Deux cordées se préparent à partir Sur les traces de Gaston, belle voie au-dessus de l’eau qui offre la possibilité de tester son pas 6a₊ travaillé en SAE toute l’année. Pendant ce temps une autre cordée démarre tranquillement l’Eperon Ouest. Six longueurs modestement équipées qui offrent la possibilité de pratiquer une escalade nature sous une bise fraîche et parfumée d’odeurs de thym.

Des vues à l’horizon sur la mer, de la hauteur, du challenge, tout le monde s’y retrouve en cette belle journée que le groupe conclut par le traditionnel apéro-diner bien mérité. Mais avant cela : passage obligé au bac-savon pour un brin de toilette ! Point de douche à La Fontasse et point de gâchis en eau ! Le liquide est précieux surtout quand il n’est pas dans nos verres alors on y fait attention ! Une jolie philosophie qui nous rappelle que l’environnement grandiose qui nous accueille est fragile et que nous avons le devoir de limiter nos traces quand on y passe.

 

Jour 3 : aller ça repart ! Avec un léger voile dans le ciel, direction les formations rocheuses aux allures de citadelles de la calanque d’En Vau. Paradis des grimpeurs, qui viennent de partout dans le monde pour apprécier la roche et le paysage. Nos cordées démarrent donc ce troisième jour sur les falaises abruptes et glissantes mais….ça En Vau le coup ! En haut des voies, une photo de groupe s’impose. Puis deux rappels et quelques broussailles plus tard, c’est l’heure du déjeuner. On s’installe avec nos cordes, nos sacs et nos dégaines sur la plage ombragée, au beau milieu des familles et des riverains qui viennent profiter de ce week-end férié. Pour certains ça sera une belle conclusion. Pour les plus téméraires ça sera un avant-gout du départ, “allez une dernière pour la route”.

 

Le soir on se retrouve et c’est ainsi que se termine cette dernière journée… La météo du lendemain annonce des pluies sur une grande partie du territoire, on essayera de trouver une petite fenêtre pour aller grimper. En attendant, on doit finir les restes de fromage et saucisson, rigoler encore un peu, manger un repas chaud et jouer aux cartes.

 

Merci aux organisateurs et initiateurs Geoffroy et Charlie, à la bande de cafistes d’Annecy Claire, Bastien, Antoine, Clémentine, Antoine, Sylvain et Cécilia. 

Le psychobloc aussi orthographié psicobloc ou deep-water soloing est une forme d’escalade en solo qui consiste à grimper au-dessus de l’eau, sans autre sécurité que la chute dans l’eau.

Ce samedi 20 août, c’était l’occasion pour quelques cafistes de faire la 2ème session de psicobloc de l’été au Roc de Chere.

 

 

 

 

Le temps fût plus brumeux et pluvieux que la dernière fois, de quoi apprécier la température de l’eau (23°C pour 17°C dehors!). Après avoir profité des transports en communs gratuits, notre petite équipe a donc pagayé depuis Talloire pour rejoindre une petite grotte située au bord de la réserve naturelle. Quelques chauves souris se sont envolées, le temps pour nous d’apprécier la pluie qui tombait sous cet abris.

Enfin, on enfile les chaussons et on grimpe! La paroi était humide mais une bonne partie de l’équipe a tout de même grimpé assez haut et est parvenue à commencer une traversée.

Après quelques plouf, le soleil est même revenu! Nous avons donc pu revenir en étant chauffés par ses rayons.

Une belle sortie qui nous a permis d’apprécier les éléments et la grimpe différemment. 🙂

Sortie proposée par Jacques Muzard

À 6h30 rdv à Sevrier, le dernier participant arrive ventre à terre, le café à peine terminé, et nous voilà partis pour une grande voie dans le Beaufortain… nous faisons connaissance dans la voiture.

C’est sympa de retrouver l’esprit caf : convivialité et partage.

Jacques nous avait prévenu 2h00 de route dont une bonne demi heure sur piste carrossable, Je découvre en voiture ce que je ne connaisssais jusque là qu’à ski. C’est bucolique le Beaufortain l’été 😉

Au chalet du Rosset, nous attend 1h00 d’approche, notre objectif est en vue, la grande Parei et la “tour” où se trouvent les grandes voies. Une montée dans les pâturages, un rapide pierrier à remonter et nous y sommes.

Nous ferons 2 cordées : Jacques, Emmanuelle et Federico dans Clef aux Pâtres, Vincent, Antoine et Nelly dans Sonatine, de belles dalles très sculptées dans la cotation 5/ 5 sup, Un réel plaisir à grimper sur ce beau rocher, sorte de conglomérat calcaire.

 Nous surplombons les alpages et le lac de la Portette, l’escalade se déroule tranquillement. 2 gypaètes nous survolent. Au sommet, nous surprenons une harde de chamois en contrebas, petite pause, on admire le paysage du beaufortain, avant d’entamer la descente par 3 rappels.

On fera la pause pique nique à 16h00 face à la belle face que nous venons de grimper, en regardant les marmottes. Voilà encore une belle journée en montagne, c’est vraiment chouette le beaufortain en été, merci Jacques

Sortie proposée par Jacques Muzard

L’élévation dans la gloire céleste…, quoi de mieux qu’une belle assomption dans les dalles de la Rosière en ce 15 août ?

 Dès l’approche, Jacques nous ascensionne déjà puisqu’il faut dire que l’accès jusqu’à Nant Debout, ça porte bien son nom, impossible de roupiller !

Petit groupe de 5 pour cette collective proposée par Jacques dans le désert aoûtien de la Rosière (presque seuls au monde), mais une équipe bien motivée entre une cordée pédagogique riche de sensations, et l’autre partie « en flèche » mais avec des réserves tout de même.

En effet, Jacques a embarqué Alexandra sur la voie du Capricorne pour ses débuts en grande voie. Sa détermination et son enthousiasme lui ont donné toute la motivation pour savourer les sensations fortes qui l’ont traversé !

Quant à nous, Dimitri, Antoine et moi, nous sommes frottés à la superbe Solstice d’été, qui ne nous a pas ménagé. Peu habitués à la grimpe en flèche, après avoir essayé de glaner quelques astuces pour les manips, point trop n’en faut, Jacques a dit « c’est dans la voie qu’on apprend les jeunes », on a donc appris dans la voie !

Comme en témoigne la concentration intense d’Antoine, sous l’œil de la dent du cruet (photo ci-après).

Une fois les nuques bien rouges, Jacques a saisi de belles photos entre ombre et soleil lors du rappel final de la seconde cordée.

Jacques ayant oublié l’appareil photo, la cordée du capricorne n’est malheureusement pas mise en lumière mais un grand bravo à tous les participants : Alexandra, Antoine, Dimitri, et Noémie. Et surtout un grand merci à Jacques !