Catégorie : École d’aventure

 

 

Pas de chance pour Erwann et Geoffroy, consignés à la maison pour cause de BAC, car pour le « Grand parcours », nous avons bénéficié d’un temps magnifique. 

 

 

Le principe de ce rassemblement organisé par la comité départemental du CAF  : proposer à travers des ateliers de découvrir ou d’approfondir ses connaissances en alpinisme. 

Le malheur des uns fait le bonheur des autres : Bertille et Maiwenn du groupe des trappeurs vont vivre leur première expérience de la haute montagne. 

Samedi : 

Petits et grands évoluent côté Aiguilles Rouges sur des parcours d’arêtes différents. 

 

La marche d’approche, en grosses et sacs chargés, demande déjà une bonne dose de courage. 

      

Bertille un peu inquiète avant l’atelier : pose de coinceurs     puis c’est une pente de neige raide à négocier avant d’attaquer la traversée d’une arête.

 

Fin d’après-midi : il faut apprendre à s’arrêter sans piolet ni crampons. 

Les plus grands (Mathis, Etienne, Marius et James), très à l’aise sur le parcours proposé, utiliseront leurs coinceurs, délaissant l’équipement en place. Ils sont trop forts !!!

   

Une descente en rappel sur le parcours des grands        Révision de la pose des coinceurs avant de démarrer l’arête. 

A 16h tout le monde descend. Douche au chalet du Tour du CAF avant la tartiflette prévue par l’organisation. 

Dimanche :

6 h 30, un bon petit déjeuner nous attend avant de partir pour la Mer de glace ou le plan de l’Aiguille suivant les niveaux. 

A nouveau la marche d’approche est difficile à avaler. Nos 2 filles du groupe des trappeurs découvrent les « plaisirs » de la progression dans les éboulis de moraine.  

 

Un peu de repos à l’arrivée avant d’attaquer la progression avec crampons suivie d’une descente en rappel.

 

Les plus grands rentrent ravis de leur journée sur la Mer de glace avec :

  

progression encordée …..mais aussi des ateliers de pentes raides en moulinette (et en tête pour certains) avec pause de broches. 

  

Deux journées bien remplies et sur le parcours du retour, les paupières sont bien lourdes et les têtes dodelinent. Mais quel beau week-end !!

 

 

 

Dimanche 11 juin, les trappeurs ont eu très chaud pour leur 2ème journée d’escalade.

 

 

 

Il faisait plus de 30° à la Clusaz et il fallait faire preuve de beaucoup de courage pour s’initier au rappel : sensations garanties !!

 

Pour se mettre dans l’ambiance , les jeunes débutent la journée par quelques voies en moulinette.

 

 

Il faut revoir les techniques pour assurer 

et prendre confiance pour se mettre en position de descente, car pour certaines, c’est la première expérience sur le rocher. 

Pause pique-nique à l’ombre salvatrice des épicéas, et c’est reparti pour l’initiation au rappel. 

Parfois un peu tendu(e)s sur les premiers mètres, les enfants prennent bien vite leurs repères et se montrent très vite à la hauteur de l’enjeu.

   

Justin, notre champion du jour, va mener une cordée de A à Z : 

escalader en tête, faire monter ses 2 seconds au relais (Bertille et moi) avec son réverso, installer le rappel ….et c’est en toute sécurité que nous effectuons ce dernier exercice.

 

Justin, très à l’aise dans ce milieu, réalise une voie en tête.

Et comme leurs aînés, la journée se termine autour d’un rafraîchissement bien mérité.

Prochaine aventure : dimanche 18 juin avec la via ferrata de la dent du chat.

 

 

A la paroi du » masque », sur le massif du roc des Boeufs,

les aventuriers se sont frottés aux exigences du « terrain d’av » :

chercher son itinéraire, se protéger au bon moment…  

 

 

…. trouver LE friend ou LE coinceur adapté, installer un relais solide.

 

Dès l’approche de la falaise le groupe prend le temps de « lire » le rocher pour prévoir son itinéraire.

  

                 prévoir son itinéraire                                     sur une falaise du Masque qui propose de nombreuses solutions   

Du matériel !….il en faut !! mais heureusement, les jeunes sont costauds et ils ont pitié de la « vieille » (moi).

Coinceurs, friends, sangles, dégaines, pitons….tout un arsenal ! 

Au pied de la paroi, Grèg (notre guide) donne des explications techniques : comment choisir la fissure qui tiendra en cas de vol, comment poser ses protections et surtout installer un relais fiable.

Les explications du maître

 

   

Mise en application des élèves avec, au début, plus ou moins de réussite. 

Puis c’est le départ pour l’aventure. Dans un premier temps, Grèg pose les protections et les relais. C’est plus sûr!

Dès la 2ème longueur, les aventuriers volent de leurs propres ailes sous la surveillance du maître qui corrige, conseil, pour un apprentissage en toute sécurité. 

Puis soudain, c’est dans le ciel que ça vole. Une nuée de parapentistes nous arrivent sur la gauche. 

 Une manche de la coupe du monde de parapente : joli spectacle. 

  

avec, dans notre dos, le Mont Blanc                                                   et devant nous, le lac d’Annecy

 

 

Grèg, dans une traversée, rejoint Etienne qui a bien négocié sa longueur en tête. 

Cinq relais plus tard, nous débouchons sur l’arête sommitale où là encore, les jeunes bénéficient d’un petit cours sur le pliage de corde « ad hoc » pour pouvoir descendre à pied une pente escarpée.

Super les jeunes !!!! C’est promis, on vous emmenra à Orny pour une falaise en terrain d’aventure plus exigeante.

 

 

 

Reste -t-il assez de neige au Semnoz, pour les trappeurs ?

 

 

 

 

 

 

Le dimanche 9 avril, Alain doit initier les trappeurs aux risques de chutes dans la neige. A 8h30, le mini bus est à l’arrêt, Joe a oublié son pique-nique et Adèle son pantalon de ski. C’est le lot des matins « chagrins », mais le soleil brille. Alors, en route vers une nouvelle aventure !

 

Alain débusque une belle pente de neige et il explique le premier jeu. Les jeunes doivent glisser et s’arrêter avant d’avoir compté jusqu’à deux! Combien de trappeurs allons-nous perdre ? J’en frémis d’avance…

Puis, on oublie de compter et les premiers gestes de survie apparaissent. 

Et tous les trappeurs se retournent. Même les irréductibles ?

Enfin, il faut apprendre à manier le piolet, objet très convoité de cette sortie. Le résultat est là, nos apprentis montagnards comprennent et appliquent le geste expliqué patiemment par Alain.

La neige fond vite au soleil et le jeu perd de son attrait. On s’éloigne vers des pentes plus raides pour apprendre à poser une corde qui nous permettra de récupérer le sac de Joe qui s’est carapaté avec le fondant au chocolat !

Il est midi, il faut manger sans tarder car nos trappeurs sont un peu comme des « hobbits ». Il faut respecter les heures des repas. On choisit une pente isolée avec un peu de terre.

Les aiguilles tournent, nous nous remettons en route pour atteindre notre objectif: le crêt du chatillon (Semnoz). Et là, il faudra me croire. Imaginez, des touristes tranquillement installés sur une pente herbeuse qui voient, étonnés, une joyeuse troupe, casques vissés sur les têtes et piolets en main!

 

A bientôt pour une nouvelle aventure!

isabelle Nasraoui

 

Samedi 1er avril, veille de la 5ème sortie des aventuriers, 

le temps maussade n’est pas très motivant. Mais nous décidons quand même de maintenir notre randonnée à ski et ce n’est pas un poisson d’avril!   

Arrivée au parking des confins les nuages nous laissent entrevoir une combe de Grand Crêt pleine de promesses : 

                      

 

le soleil semble vouloir être de la partie et pratiquement pas de portage.

Grâce à l’expérience et au sens de l’itinéraire de Jacques, nous avançons skis aux pieds entre rochers et plaques d’herbes sur les 100 premiers mètres.

Au fur et à mesure de notre progression, l’optimisme gagne l’ensemble de la troupe.

Première agréable surprise : le bon regel nocturne et les pentes plutôt lisses, nous permettent d’espérer une bonne descente. Deuxième surprise : un ciel bleu sur les Aravis. Nous avons laissé les nuages derrière nous et parfois quelques résidus de brouillard nous offrent un spectacle féérique.  

ciel bleu et bon regel ….que du bonheur !!!            Erwann …entre soleil et brouillard

   

 Sur le replat avant d’aborder les pentes finales du trou de la mouche (aufond à gauche) ou de tête pelouse (à droite)

Au pied du dernier raidillon Erwann me dit : « là bas, Dom, ça a l’air beau! », en me montrant une pente lisse qui se dresse sur notre droite, entre les 2 sommets. Pas de skieur à l’horizon. « OK Erwann, on y va ! ». 

Juste avant de bifurquer nous assistons impuissants à la sérieuse glissade d’une skieuse terminant sa course au pied de Martine qui va lui prodiguer les premiers soins. Première leçon du jour : toujours garder ses gants et des manches longuers dans les pentes raides. Bien reçu, les aventuriers!

 

La pente se redresse sérieusement et il va falloir finir à pied. « Les jeunes, on met le casque ». Geoffroy nous déniche d’anciennes marches pour sortir au col sans encombre, tandis que Mathis et Erwann, devront apprendre (sous la conduite de Martine) à tailler une plate forme en pente raide pour pouvoir chausser en sécurité.

 Impossible de mettre le splitboard sur le sac, pour monter à pied. Mathis doit s’arrêter et avec l’aide de Martine se fabriquer une plate forme pour pouvoir chausser.

Belle moquette, pas de rails…la descente est un régal, avec un passage dans une sorte de goulet en forme de half pipe pour le plus grand plaisir des jeunes.

 

 Mathis dans le half pipe de Grand Crêt

   

 les 3/4 de la descente en très bonne condition….

 

 

….et nous déchausserons au chemin.

Au final, c’était quand même une journée inespérée !!!

 

 

Avertissement : le texte et les photos de cet article sont l’oeuvre d’un jeune du groupe des aventuriers (Erwan). Et oui ! la nouvelle génération sait s’engager pour le club. Bravo et merci à lui !!! 

 

Le dimanche 12 Février, les aventuriers de l’école d’aventure ont une envie de sorbet. Rendez vous donc à 9h30 devant le local pour aller chez le meilleur glacier des Alpes situé à Champagny en Vanoise. 

 

Pascal est là pour nous encadrer et conduire la CAFmobile. L’heure et demi de route  passe très lentement, tellement notre impatience de planter de la féraille dans de l’eau solide est grande. 

 

Arrivés au parking, nous ne sommes pas seuls. Pour notre plus grand bonheur, des gens très (voir trop) forts sont là pour nous impressionner. En effet, nous arrivons le lendemain des championnats du monde junior et quelques solides gaillards ont décidé de rester. 

   

Pascal commence par nous installer quelques moulinettes dans du vertical et de la dalle. Ainsi les aventuriers qui découvrent cette discipline, peuvent commencer en toute sérénité pendant que les autres se perfectionnent. 

   

Etienne commençe une course contre le monsieur en vert puis se fait dépasser (mais ne t’inquiète pas ; on ne t’en veut pas : c’est quand même le vice champion du monde junior !) 

    

Malheureusement, le soleil et la forte chaleur du jour nous transforment la belle glace en douche ; c’est ainsi qu’est batisée une des lignes au moment où Etienne se prend un bon gros morceau de glace pilée (heureusement sans gravité). 

 

 Les plus aventuriers dans l’âme essaient de grimper en tête pendant que les autres perfectionnent leur technique en moulinette. 

    

Après cette journée bien sympathique, nous allons fêter les croix du jour dans un bar (comme de vrais cafistes) et nous rentrons tous bien fatigués mais heureux de cette journée forgeant quand même bien les bras. 

 

Dimanche 19 février, le groupe des trappeurs est au col des Aravis pour apprendre à réaliser des igloos et mettre en application les connaissances abordées lors de leur précédente sortie de janvier.                                                                                                             

Les rayons du soleil baignent déjà le parking lorsque nous arrivons. Chaque enfant met seul ses raquettes et son DVA et la petite troupe s’engage sur le chemin qui mène au chalet du Curé.

  

début de journée sous un soleil radieux, une luge en guise de sulky pour transporter pelles et goûter. 

Un premier petit raidillon et il faut déjà s’arrêter pour manger un peu. Etienne (un jeune du groupe des 14-18 ans) en profite pour montrer à ses cadets la Verte et les Drus.

 

Un peu plus loin, nous nous engageons dans un joli vallon. La neige poudreuse en profondeur s’annonce difficile à travailler et les gros blocs de rocher devraient nous servir d’appui pour construire nos igloos….

  

….et offrent aussi un terrain de jeu pour nos alpinistes toujours en quête de sommets!!!! 

Par équipe de deux, les 6 trappeurs attaquent avec beaucoup d’enthousiasme « LEUR IGLOO ». Plusieurs techniques sont testées :

   

– creuser à 2 dans un gros tas de neige à l’abri du vent 

– utiliser un bloc pour creuser dessous  

 

– 2 trous qui vont se rejoindre pour former un abri. 

 

Après une pause déjeuner bien méritée, nous effectuons, sous la conduite d’Etienne, le tour des différents igloos pour faire un premier bilan des défauts et des qualités de chaque abri. 

Puis c’est parti pour une recherche avec le DVA, histoire de vérifier si tout le monde a bien retenu la leçon

 

….avant de conjuguer nos efforts pour terminer le plus gros de nos 5 igloos.

   

Tout le monde pourra y dévorer la brioche à la FAMEUSE confiture de cynorhodon, cueillie et cuisinée par nos jeunes aventuriers (enfin avec l’aide des mamans et d’Isabelle)

  

La délicieuse confiture…… de quoi vous donner le sourire!!! 

Le soleil commence à disparaître derrière la falaise. Il faut se dépêcher de redescendre avant de se refroidir.

 

une dernière petite descente en luge,

    

pendant que d’autres sont comme des princesses sur leur trône de neige…. 

C’était une journée pleine de bons moments pour bien débuter les vacances.

 

 

 

 

 

Comme c’est compliqué de choisir par ces temps de « vaches maigres », une randonnée à ski intéressante pour nos aventuriers.

 

Debriefing à Thônes : j’expose deux propositions avec leurs avantages et leurs inconvénients. A l’unanimité ce sera la Tournette avec la perspective d’un chemin jamais bien agréable. C’est un sommet qui se mérite ! 

Au départ il y a déjà beaucoup de voitures.

 

Les jeunes s’équipent : ski, surf, ou splitboard, DVA, pelle, sonde, casque….et vivres de courses.

Le chemin est égal à lui-même : long, lisse et un peu cailloteux.

 

 

Même bien chargés sur cette partie peu agréable tout le monde progresse dans la bonne humeur. 

 

A la sortie du bois, une première pose s’impose pour recharger les batteries de ceux qui ont voulu tracer droit « dans le pentu » (fougue de la jeunesse !!) 

Un peu plus loin il faut mettre les couteaux pour un passage un peu plus raide et bien dure à hauteur de Rosairy.

 

Une deuxième pose pour s’alimenter, enlever les couteaux et remettre une veste et c’est reparti sous la conduite d’Etienne qui va parfaitement gérer l’allure, à la montée comme à la descente. 

 

Encore 30 minutes d’effort et c’est la pause pique nique que certains attendaient avec impatience car ils ont prévu un repas plutôt atypique pour une randonnée à ski.

  

  Préparation du matériel pour la descente ……..        avant le pique nique ……

 

 

         Thermos de pâtes pour Erwann ! 

 

Nous profitons d’un petit spectacle avec le passage d’un speed rider, avant d’entamer la descente. J’opte pour un petit vallon situé à gauche et qui débouche au dessus du refuge. Bonne pioche : la neige est un peu dure mais sans trace et nous pouvons enchaîner les virages jusqu’à Rosairy.

  

 Notre petit groupe tranquille pour enchaîner les virages dans un vallon délaissé par les autres randonneurs. 

  Un dernier regard sur le refuge avant la descente du chemin qui met à rude épreuve nos quadriceps.

           

Finalement, ce fut un bon choix pour nos 6 aventuriers et les 3 adultes qui les ont encadrés. 

 

 

 

                                                               

Ce dimanche 15 janvier, 6 trappeurs de 7 à 11 ans ont rendez-vous pour partir à la recherche d’un trésor enfoui sur les pentes neigeuses du Semnoz.

Leur mission : utiliser carte IGN et DVA (détecteur de victime d ‘avalanche) pour le découvrir.  

9 h : le groupe se réunit à la bibliothèque du CAF pour : 

régler les raquettes et apprendre à bien les utiliser

…remplir son carnet d’aventurier conçu par la FFCAM. Il permet à chaque trappeur de suivre ses acquis. 

…apprendre à lire une carte IGN et à utiliser un DVA. 

  

Tout le monde est très attentif et l’essentiel est compris. Place à la pratique.  

Arrivée au Semnoz, les trappeurs doivent s’équiper seul. Quelques hésitations …et c’est parti pour une petite randonnée avec des passages techniques, histoire de vérifier que chacun sait bien utiliser ses raquettes, à la montée comme à la descente.

 

une ambiance hivernale et un paysage magnifique 

…quelques chutes                                                                 on joue avec la neige sur les sapins 

Un peu plus loin j’abandonne le groupe  pour aller cacher les 2 trésors. 

12 h 30 : pause pique nique, au chaud dans le foyer de ski de fond. Isabelle constitue les 2 groupes qui repartent dès le dessert avalé, avec leur carte d’orientation et les DVA. La partie s’annonce bien avec un soleil radieux.

 

    

l’approche avec la carte d’orientation 

 et la recherche finale avec le DVA. Qui sera le premier ou la première à trouver…..les snickers ! Pas si facile que ça!!!

 Trop fort, les trappeurs du CAF d’Annecy ! Et le trésor ne tardera pas à combler les estomacs de nos gourmands. 

15 h : il faut rentrer au CAF pour ranger, remplir les livrets et prendre le goûter avec la FAMEUSE confiture de cynorhodon réalisée par Adèle grâce à la cueillette de notre précédente randonnée. 

Belle journée et RDV le 19 février pour l’igloo.

 

 

Pas de neige cette année, les vacances s’annoncent sous un bel anticyclone…

 

Il faut oublier les raquettes, ranger les belles doudounes et se mûnir de gants. Les cynorrhodons – baies de l’églantier – se laissent approcher, mais qui s’y frotte s’y pique.

Le plaisir de la cueillette lasse vite nos jeunes trappeurs.

 

Le groupe reprend sa route doucement…

 

Près de l’étang, les jeunes lancent des cailloux qui traversent (ou pas !) cette surface gelée.

 

En souvenir, une photo avec un beau sourire :

 

La montée est un peu longue jusqu’au col du Châtillon (au moins 1000 ans !), mais les jeux et le pique-nique font vite oublier cet effort.

 

Puis, il faut penser à descendre sans oublier les petits plaisirs.

 

Un dernier regard devant ce beau panorama choisi par Martine, un grand Merci !

 

 

La prochaine sortie, nous dégusterons (et emporterons s’il en reste)  cette confiture bien méritée !

 

Joyeuses fêtes à tous !

 

Isabelle