Quand le risque est 3 (au-dessus de 1600 m.)
L’imagination entre alors en piste, avec Pascal et sa destination : la croix de Colomban.
Après avoir rendu visite à la Marie Droulaz, le parcours continue dans les bois, la neige est sous les spatules. La causette s’installe.
Enfin, pas tout le temps…
Mais il faut tout de même se réconcilier avec ce temps,
vu que dans la plaine, ce n’est pas encore dégagé… La première descente reste « sanglier », les restes de la tempête, peut-être
C’est indéniable, cela permet de réaliser des progrès dans les virages, entre les souches. Mais pour en profiter un peu, il faut repeauter.
Tout le monde s’applique, il faudra renouveler l’expérience une nouvelle fois plus loin, pour remonter, en rang par deux…
Pour profiter de la dernière descente, on remonte encore… La Tournette s’affiche, peut-être pour une prochaine sortie.
Une petite reconnaissance des parcours futurs pour la randorientation ?