Un week-end incroyable pour les aventuriers du CAF d’Annecy. Voici le piolet jeune gagné de haute lutte par les Experts* (* Les experts sont la tranche 16-18 ans de nos aventuriers).
Cascades artificielles, naturelles, couloirs équipés. On ne voulait plus s’arrêter.
Tout était en place pour un festival de danse sur piolets.
Nous n’avons pas osé tâter au dry tooling hyper déversant. Mais on a eu la démonstration par Pierre Boucher.
Didier Angelloz de chez Camp nous a prêté le dernier cri de leurs piolets cascade qu’on aurait voulu ne plus rendre.
Nous étions entourés de la crème du milieu alpin dans ce fabuleux et dépaysant paysage de Bessans-Bonneval : Stéphanie Bodet, Pierre Boucher, Pierre Tardivel, Christophe Moulin…
Le concours de vitesse entre la marmotte de Bonneval et le diable de Bessans à vu cette dernière complètement larguée. Avec son énorme tête, elle était incapable de voir ses pieds et le relief. A la fin, quand le grimpeur a quitté son déguisement, on a vu une cocotte minute dépressurisée fumante.
On a retrouvé quelques initiateurs du CAF : Agnès Choisel, Philippe Bolon, Alexandre Dunod… qui parmi pleins d’autres se sont dépensés sans compter pour nous encadrer avec un sans faute pour leur abnégation. La compétance de toutes ces personnes et des guides m’ont impressionné.
Grâce à Lucile (ci-dessus) et son diaporama hyper dynamique, nos aventuriers se sont hissés à la tête de la meilleure présentation de leur club. Abel et Bastien on la fibre du bénévole. Noé et Anaïs sont supers motivés. On a là une équipe soudée qui augure un bel avenir alpin.
L’épatante équipe du Centre social de Sury le Comtal (on a du mal à situer sur la carte ) venue des plaines du Forez a obtenu facilement le coup de coeur, grâce aux talents de leurs deux orateurs. Récupération du second piolet jeune offert garantie.
Tout y était : accueil, repas, dodo, douches, casse-croûte offert. Pas possible de faire l’escape game trop tardif.
La température clémente et le ciel nous ont épargnés. Ça devrait faire des envieux, nul doute que l’année prochaine, on se bouscule pour y aller.